Re: Vampire - Bloodlines
Posté : 07 novembre 2013, 17:51
Jeudi 6 Mars…
Un réveil lourd… Je me remémore na luit passée… Quel bordel… Je sors me dégourdir les membres et je vais aller chasser. Cette ville lugubre grouille de petites gens dont je n’ai aucun de mal à me nourrir dessus. C’est presque trop facile et pourtant…
Je croise les autres Kindred, on discute et j’apprends que Thérèse Voerman aurait diablé son père qui n’aurait été qu’autre que son sire. Cette femme cache bien des mystères. On nous dit sommairement qu’on est convoqué par le Prince le lendemain à la tour Ventrue. Je sens que certains vampires vont en prendre pour leur grade… Je m’en branle car je n’ai fait que suivre aux ordres et qu’ici, je ne suis rien… Ce n’est pas ma faute si tout à foiré…
Vendredi 7 Mars.
Nous voilà devant la tour ventrue, la tension est palpable parmi nos rangs. On nous fait entrer et on pénètre dans l’ascenseur. Personne ne parle… On entre dans « la salle du trône ». Le petit prince est entouré de ses familiers… Des vampires puissants qui sont soumis tels de vils chiens à leur maître… On les appelle ici des primogènes… D’autres civilisations les auraient appelés par des noms bien moins flatteurs… Il y a aussi des Harpies, personnages sociaux qui montre bien la décadence de cette cour. Dans les ruelles noires, seuls les poings permettent de s’en sortir et il n’y a pas de place pour les belles paroles…
Ils sont assis dans des fauteuils en arc de cercle et des chaises sont disposées devant pour que nous y prenions place. Tout est prévu pour donner une ambiance théâtrale. Je fais fis de tout ce décorum et je m’assois, sans autre forme de procès, à une des chaises les plus proches de la sortie… Au cas où ca foire… Juste au cas où… Un projecteur est placé pas loin… Je sens que la mauvaise blague… Le prince se lève et on a droit à notre sermon habituel concernant la mission foiré de l’attaque de l’entrepôt… Je reconnaitrais ce petit pantin que lorsque celui-ci me reconnaitra à ma juste valeur… C’est dire si ce n’est pas demain la veille… Il nous raconte qu’il a réussi à obtenir une vidéo où on est sensé apparaître. A-t-il besoin de preuves pour nous punir ? Encore une marque de faiblesse. Alors qu’on active le bouton de marche de l’appareil, celui-ci commence à fumer et une odeur de cramé monte à mes narines… Les ventrues sont vraiment des camelots de basse extraction. Merde ! Ce n’est pas sérieux… Tant pis pour le petit reportage mais je trouve que c’est risible et montre bien que ce petit con ne mérite pas sa place ici… Ce petit incident aura fait une victime : La goule qui se chargeait de l’appareil se fait directement détruire par le Nagloper qui sent que la situation part en couille. Rien de tel que trancher une pauvre victime pour faire passer la pilule. Dans le sermon il était sous-entendu qu’une seule personne n’a informé Delacroix de la mission et étrangement, le prince demande à Bismarck un compte rendu détaillé de ce qui s’est passé. Elle raconte tout et avance même avoir vue des mages, des baalis et un loup garou de la spirale noire dans l’action. Velvet Velour demande plus d’explication à ce sujet. Je suis étonnée et je me demande si la trémère avait les yeux bien ouverts dans ce fichu entrepôt. Tout le monde est chargé, un à un, de s’expliquer et Bokassa, comme à l’habitude, en prends plein la gueule. J’écoute attentivement et je me dis que si tout ceci se révèle vrai, on a du souci à se faire… Gunterwald et moi-même sommes assez francs et réalistes dans nos propos. On a presque rien vu et les évènements se sont précipités tels que notre mission d’infiltration n’a pu se faire. On a subi plus qu’autre chose. Delacroix passe à Jade Smith et est très sévère avec elle, il ne comprend pas sa position exacte dans la mission. Il est vrai que les apparences sont contre elle d’un certain point de vue. Quand aux brujahs, ils racontent à peu près la même chose à une différence près. Monsieur Perry mentionne, en plus des hommes volants, que certains portaient des numéros sur eux. De plus, pour bien marqué le coup, il enfonce bien Bokassa en racontant que ce dernier s’était auto proclamé chef de la mission et, avait décidé par lui-même que les informations étaient suffisantes pour passer à l’offensive. Même si je pense moi-même que les données n’étaient pas suffisantes, et surtout, qu’on n’avait pas recoupé ces information afin d’être sûr de notre coup, je trouve le procédé lâche et peu honnête. Quand le grand gaillard va revenir, s’il revient, ca va être chaud du diable… Quand à moi, fidèle à moi-même, je ne raconte que ce que j’ai vu, c'est-à-dire pas grand-chose et, surtout, je ne démonte personne…
Une petite joute verbale entre Gary Golden et les trémères termine les plaidoyers. Le Nosfératu émet des doutes sur leur renseignement par rapport à son clan et la phrase à retenir de cette soirée sera : « La prochaine fois que le clan Tremere me donnera des renseignements, je les jetterais à la corbeille… ». Fin de citation…
Les informations qu’on en tirera de cette soirée et que l’entrepôt attaqué il y a deux nuits appartiendrait à la PANACEA, un institut qui fait des recherches sur des anti-virus. Il aurait crée un sérum anti sida qui serait une chance pour les caïnites. La PANACEA aurait déclaré qu’ils ont été attaqué par le consortium Ventrue (tiens, tiens…) pour leur voler le prototype. Delacroix nous rappelle alors les dangers que l’on encoure et nous rappelle encore une fois que le Sabbat doit être détruit… C’est moi où il fait une fixation sur cette secte ? Paix maintenue entre vampires, attaque probable des chasseurs de vampires, blablabla… Tout y passe… Manque plus que le Croque mitaine… Il fini son beau discours par nous retirer la mission de l’entrepôt du sabbat, chouette ! Et nous donne pour mission de nous éloigner le plus du Sabbat en nous envoyant à San Francisco… Pas de problème… Il demande à avoir toutes les informations et les éléments qu’on a pu réunir lors de notre enquête pour qu’il les transmet à des vampires plus compétents. L’avantage quand on est rien et que l’on ne peut pas nous mettre encore plus bas que terre. Ce que je retiendrais c’est que l’image du clan Ventrue à pris un sérieux coup dans l’aile…
Delacroix n’est qu’un lâche…
On doit aller à San Francisco et dire à Sara Anne Winder, la princesse en poste, de la part du prince de Los Angeles, qu’on est les meilleurs éléments que ce dernier a pour l’aider à sa tache. Il pense que cela jouera en notre défaveur mais ce con se tire une balle dans le pied car, quand elle verra nos réelles capacités, elle verra rapidement qu’on s’est foutu de sa gueule…
Avant de partir, je vais voir Thérèse Voerman et lui raconte ce que sa sœur m’avait demandé de faire. J’espère que cette petite bombe fera bouger les choses à mon retour, si jamais je reviens. En retour, elle me promet de voir ce qu’elle peut faire pour nous au sujet de cette mission et espère nous revoir rapidement. Elle me donne le nom d’un contact où je pourrais me réfugier quand j’atteindrais San José.
Je prends mon véhicule et boucle mes affaires, cela tombe bien, je n’avais presque rien à emballer, ce fut rapidement fait. Je prends très tôt la route et les kilomètres sont passés sans encombre. J’arrive à San José où je trouve un refuge pour la nuit comme convenu.
Samedi 8 Mars.
Me revoilà dans une nouvelle ville… Je retrouve les autres au Winter Gallery situé dans un quartier lugubre. Je me présente à nouveau et on nous présente la ville et les vampires qui ont élus domicile. Il y a plein d’amérindiens par ici… San Francisco est clairement occupé par 2 clans qui, même s’ils ne sont pas en guerre ouverte, se tire dans les pattes et entraves le plus possible l’autre partie même s’il n’y parait rien vu de l’extérieur. Et pour couronner le tout, il y aurait plusieurs mandarins en lutte pour le contrôle de la ville en plus de la présence du sabbat. Un vase clos qui ressemble à une cocotte minute prêt à exploser.
A première vue, cette ville à l’air d’un merdier sans nom où certaines parties de la ville sont interdites par la faction d’en face et d’autres à usages restreint. Il me faudra faire bien attention à l’endroit où je mettrais les pieds dorénavant, les coups bas sont autorisés. Etant sous dictat Kuei-Jin, techniquement ils sont les maîtres de la ville, on devra attendre quelques jours pour savoir quel quartier nous est attribué. Etant donné que les chinois se sont attribué les plus beaux quartiers, je me demande dans quel endroit je vais encore atterrir…
En gros, pour la répartition de San Francisco, on a les chinois qui tiennent le quartier des affaires (la bourse), Chinatown et Alcatraz, nous on a le quartier Castro et les alentours de la ville.
Mais dans quel guêpier je me suis fourrée encore ?
Un réveil lourd… Je me remémore na luit passée… Quel bordel… Je sors me dégourdir les membres et je vais aller chasser. Cette ville lugubre grouille de petites gens dont je n’ai aucun de mal à me nourrir dessus. C’est presque trop facile et pourtant…
Je croise les autres Kindred, on discute et j’apprends que Thérèse Voerman aurait diablé son père qui n’aurait été qu’autre que son sire. Cette femme cache bien des mystères. On nous dit sommairement qu’on est convoqué par le Prince le lendemain à la tour Ventrue. Je sens que certains vampires vont en prendre pour leur grade… Je m’en branle car je n’ai fait que suivre aux ordres et qu’ici, je ne suis rien… Ce n’est pas ma faute si tout à foiré…
Vendredi 7 Mars.
Nous voilà devant la tour ventrue, la tension est palpable parmi nos rangs. On nous fait entrer et on pénètre dans l’ascenseur. Personne ne parle… On entre dans « la salle du trône ». Le petit prince est entouré de ses familiers… Des vampires puissants qui sont soumis tels de vils chiens à leur maître… On les appelle ici des primogènes… D’autres civilisations les auraient appelés par des noms bien moins flatteurs… Il y a aussi des Harpies, personnages sociaux qui montre bien la décadence de cette cour. Dans les ruelles noires, seuls les poings permettent de s’en sortir et il n’y a pas de place pour les belles paroles…
Ils sont assis dans des fauteuils en arc de cercle et des chaises sont disposées devant pour que nous y prenions place. Tout est prévu pour donner une ambiance théâtrale. Je fais fis de tout ce décorum et je m’assois, sans autre forme de procès, à une des chaises les plus proches de la sortie… Au cas où ca foire… Juste au cas où… Un projecteur est placé pas loin… Je sens que la mauvaise blague… Le prince se lève et on a droit à notre sermon habituel concernant la mission foiré de l’attaque de l’entrepôt… Je reconnaitrais ce petit pantin que lorsque celui-ci me reconnaitra à ma juste valeur… C’est dire si ce n’est pas demain la veille… Il nous raconte qu’il a réussi à obtenir une vidéo où on est sensé apparaître. A-t-il besoin de preuves pour nous punir ? Encore une marque de faiblesse. Alors qu’on active le bouton de marche de l’appareil, celui-ci commence à fumer et une odeur de cramé monte à mes narines… Les ventrues sont vraiment des camelots de basse extraction. Merde ! Ce n’est pas sérieux… Tant pis pour le petit reportage mais je trouve que c’est risible et montre bien que ce petit con ne mérite pas sa place ici… Ce petit incident aura fait une victime : La goule qui se chargeait de l’appareil se fait directement détruire par le Nagloper qui sent que la situation part en couille. Rien de tel que trancher une pauvre victime pour faire passer la pilule. Dans le sermon il était sous-entendu qu’une seule personne n’a informé Delacroix de la mission et étrangement, le prince demande à Bismarck un compte rendu détaillé de ce qui s’est passé. Elle raconte tout et avance même avoir vue des mages, des baalis et un loup garou de la spirale noire dans l’action. Velvet Velour demande plus d’explication à ce sujet. Je suis étonnée et je me demande si la trémère avait les yeux bien ouverts dans ce fichu entrepôt. Tout le monde est chargé, un à un, de s’expliquer et Bokassa, comme à l’habitude, en prends plein la gueule. J’écoute attentivement et je me dis que si tout ceci se révèle vrai, on a du souci à se faire… Gunterwald et moi-même sommes assez francs et réalistes dans nos propos. On a presque rien vu et les évènements se sont précipités tels que notre mission d’infiltration n’a pu se faire. On a subi plus qu’autre chose. Delacroix passe à Jade Smith et est très sévère avec elle, il ne comprend pas sa position exacte dans la mission. Il est vrai que les apparences sont contre elle d’un certain point de vue. Quand aux brujahs, ils racontent à peu près la même chose à une différence près. Monsieur Perry mentionne, en plus des hommes volants, que certains portaient des numéros sur eux. De plus, pour bien marqué le coup, il enfonce bien Bokassa en racontant que ce dernier s’était auto proclamé chef de la mission et, avait décidé par lui-même que les informations étaient suffisantes pour passer à l’offensive. Même si je pense moi-même que les données n’étaient pas suffisantes, et surtout, qu’on n’avait pas recoupé ces information afin d’être sûr de notre coup, je trouve le procédé lâche et peu honnête. Quand le grand gaillard va revenir, s’il revient, ca va être chaud du diable… Quand à moi, fidèle à moi-même, je ne raconte que ce que j’ai vu, c'est-à-dire pas grand-chose et, surtout, je ne démonte personne…
Une petite joute verbale entre Gary Golden et les trémères termine les plaidoyers. Le Nosfératu émet des doutes sur leur renseignement par rapport à son clan et la phrase à retenir de cette soirée sera : « La prochaine fois que le clan Tremere me donnera des renseignements, je les jetterais à la corbeille… ». Fin de citation…
Les informations qu’on en tirera de cette soirée et que l’entrepôt attaqué il y a deux nuits appartiendrait à la PANACEA, un institut qui fait des recherches sur des anti-virus. Il aurait crée un sérum anti sida qui serait une chance pour les caïnites. La PANACEA aurait déclaré qu’ils ont été attaqué par le consortium Ventrue (tiens, tiens…) pour leur voler le prototype. Delacroix nous rappelle alors les dangers que l’on encoure et nous rappelle encore une fois que le Sabbat doit être détruit… C’est moi où il fait une fixation sur cette secte ? Paix maintenue entre vampires, attaque probable des chasseurs de vampires, blablabla… Tout y passe… Manque plus que le Croque mitaine… Il fini son beau discours par nous retirer la mission de l’entrepôt du sabbat, chouette ! Et nous donne pour mission de nous éloigner le plus du Sabbat en nous envoyant à San Francisco… Pas de problème… Il demande à avoir toutes les informations et les éléments qu’on a pu réunir lors de notre enquête pour qu’il les transmet à des vampires plus compétents. L’avantage quand on est rien et que l’on ne peut pas nous mettre encore plus bas que terre. Ce que je retiendrais c’est que l’image du clan Ventrue à pris un sérieux coup dans l’aile…
Delacroix n’est qu’un lâche…
On doit aller à San Francisco et dire à Sara Anne Winder, la princesse en poste, de la part du prince de Los Angeles, qu’on est les meilleurs éléments que ce dernier a pour l’aider à sa tache. Il pense que cela jouera en notre défaveur mais ce con se tire une balle dans le pied car, quand elle verra nos réelles capacités, elle verra rapidement qu’on s’est foutu de sa gueule…
Avant de partir, je vais voir Thérèse Voerman et lui raconte ce que sa sœur m’avait demandé de faire. J’espère que cette petite bombe fera bouger les choses à mon retour, si jamais je reviens. En retour, elle me promet de voir ce qu’elle peut faire pour nous au sujet de cette mission et espère nous revoir rapidement. Elle me donne le nom d’un contact où je pourrais me réfugier quand j’atteindrais San José.
Je prends mon véhicule et boucle mes affaires, cela tombe bien, je n’avais presque rien à emballer, ce fut rapidement fait. Je prends très tôt la route et les kilomètres sont passés sans encombre. J’arrive à San José où je trouve un refuge pour la nuit comme convenu.
Samedi 8 Mars.
Me revoilà dans une nouvelle ville… Je retrouve les autres au Winter Gallery situé dans un quartier lugubre. Je me présente à nouveau et on nous présente la ville et les vampires qui ont élus domicile. Il y a plein d’amérindiens par ici… San Francisco est clairement occupé par 2 clans qui, même s’ils ne sont pas en guerre ouverte, se tire dans les pattes et entraves le plus possible l’autre partie même s’il n’y parait rien vu de l’extérieur. Et pour couronner le tout, il y aurait plusieurs mandarins en lutte pour le contrôle de la ville en plus de la présence du sabbat. Un vase clos qui ressemble à une cocotte minute prêt à exploser.
A première vue, cette ville à l’air d’un merdier sans nom où certaines parties de la ville sont interdites par la faction d’en face et d’autres à usages restreint. Il me faudra faire bien attention à l’endroit où je mettrais les pieds dorénavant, les coups bas sont autorisés. Etant sous dictat Kuei-Jin, techniquement ils sont les maîtres de la ville, on devra attendre quelques jours pour savoir quel quartier nous est attribué. Etant donné que les chinois se sont attribué les plus beaux quartiers, je me demande dans quel endroit je vais encore atterrir…
En gros, pour la répartition de San Francisco, on a les chinois qui tiennent le quartier des affaires (la bourse), Chinatown et Alcatraz, nous on a le quartier Castro et les alentours de la ville.
Mais dans quel guêpier je me suis fourrée encore ?