Delta Green

[Haize]

7 juillet 1989

Je suis envoyée depuis le bureau de NY à Los Angeles afin de venir en soutien à la police locale sur une affaire de meurtre. Les faits sont les suivants : Entre le 3 et le 5, 3 femmes de race hispanique, âgées d’environ 16 ans ont été retrouvées éventrées dans le quartier hispanique. Il va de soi que la police a à faire à un tueur en série. Cependant le 6, une 4eme femme est retrouvée assassinée dans ce même quartier, mais elle est de race blanche, âgée d’une vingtaine d’années et le mode opératoire diffèrent en tout point. En effet elle a eu la tête, les doigts et les orteils tranchés, son ventre labouré de coup de couteau et un liquide caustique lui a été versé à plusieurs endroits. J’ajouterais quelques faits étranges, elle est en effet enceinte de 3 mois mais le fœtus est anormal !
J’ai donc été accueilli par le capitaine de la police, cpt Hernandez. J’ai de plus fait la connaissance de mes collègues du FBI, Alice Sprett, Yohan Miller, Steve Branson (légèrement excentrique !) et Gibson. Tous me paraissent compétents. Nous serons accompagnés dans notre enquête par l’inspecteur Nicaragua qui nous sera précieux lors de nos visites dans le quartier hispanique.

Une fois les rapports lus nous nous sommes dirigés sur les lieux du dernier crime afin de prélever des renseignements encore présents éventuellement. Arrivés dans la sombre impasse nous nous attelons à la tâche, les détritus amoncelés nous rendent la tâche difficile mais Branson trouve l’un des doigts manquant et Gibson, un long cheveu blond souillé par le sang. L’idenfication de la victime en sera plus aisé d’autant que personne n’a émis d’avis de disparition !
Il est difficile de faire une quelconque relation entre les différents meurtres mais la tension dans le quartier hispanique est telle que notre présence semble tout à fait justifier. En effet les différents gangs dont le gang des Maravillas ne semble pas apprécier cette insécurité qui pourrait être perçu comme une faiblesse de leur part. Nous devons donc en plus de résoudre cette enquête maintenir une paix incertaine entre les gangs.

8 juillet 1989

Avant toute chose nous rendons visite au bureau du FBI de Los Angeles qui semble débordé par toutes les tensions qui agitent la ville. Il nous mets de plus en garde contre Amanda Campbell, journaliste à CNN et fille de sénateur, qui semble dangereuse pour l’enquête fourrant son nez partout et surtout là où il ne faut pas .

Après cette entrevue, nous décidons donc de reprendre l’enquête à son début et en attendant l’identification de la dernière victime. Nous allons donc interroger une nouvelle fois les familles des victimes, soit les Fernandez, les Gonzales, et les Sanchez. Nous faisons donc 2 groupes, Nicaragua et Miller s’occupent des Sanchez et Gibson et moi-même, comptant sur mes rudiments d’espagnol, partons chez les Fernandez (Sprett et Branson s’occupent d’amener les preuves récoltées la veille au labo).
Nous apprenons peu de choses, les familles semblent mener leur propre enquête ne faisant guère confiance à des agents du gouvernement ! Cependant nous trouvons une photographie chez l’une des victimes sur laquelle se trouvent 4 jeunes filles, soit les 3 victimes plus une 4eme victime potentielle ( ?). Cette dernière étant hispanique elle n’est en aucun cas notre 4eme victime.
Lorsque nous interrogeons M. Fernandez sur les jeunes filles, celui-ci les insulte, il ne connaît pas leur nom.
Nous nous intéressons un temps à la piste du petit ami de l’une d’elle sans résultat, la famille Fernandez s’étant déjà occupée de vérifier ce qu’il savait …
Nous réalisons évidemment que non seulement notre présence (peut être nos tenues ?) n’est pas passée inaperçue mais elle est également non désirable. En effet, le frère de la petite Fernandez et ses amis se sont permis de nous menacer ou du moins ont tenté de nous effrayer.
Nous sommes par conséquent particulièrement sur nos gardes.

Alors que nous nous dirigeons chez les Gonzalez nous apprenons que la mère de la victime (sa seule famille) s’est suicidée. Nous fouillons tout de même l’appartement et trouvons la même photo que chez les Fernandez.
Afin de trouver l’identité de la 4eme jeune fille, faute de pouvoir chercher au lycée du quartier, nous nous dirigeons vers son église.
Le « prêtre » nous accueille, répond à nos questions (il reconnaît les jeunes filles mais ne connaît pas leur nom) puis nous réalisons que nous sommes dans un lieu de culte en rien chrétien. Le prieur nous informe donc sur leur culte appelé Ogun, il prie donc des dieux derrière lesquels se cachent des saints bibliques, les plus importants étant Chango, dieu de la guerre (sainte Barbara) et Obatala, déesse de la paix (la vierge Marie). C’est une religion importait d’Afrique.
Nous notons que le « prêtre » vient de réaliser un rite pour apaiser Chango à l’aide d’un cigare ( ?), de rhum et de crucifix.
La tension est donc palpable jusque dans ce lieu de prière, d’ailleurs nous ne quittons nos kevlars dans le quartier.

En quittant l’église nous passons devant une étrange boutique recouverte de peinture de la vierge et autres idolâtries. Curieux nous entrons dans ce qui semble être une boutique ésotérique. La propriétaire nous accueille, elle se fait appeler sœur Zoé et semble complètement allumée (uhh… pardon). Elle aussi est une fervente croyante Ogun. Nous essayons de lui poser quelques questions mais c’est en vain, elle tient des discours désordonnés et incompréhensible (pour des non initiés je suppose). Soudain elle prend à partie l’agent Sprett et insiste pour qu’elle mette autour du coup une sorte de pendentif. Elle affirme qu’ainsi Chango la reconnaitra. D’ailleurs Chango est présent dans la pièce sous la forme d’une statue de taille humaine entourée d’offrandes. La statue tient une épée de bois et une coupe sertie. L’aspect réel de la statue nous met relativement mal à l’aise et alors que nous sortons, l’agent Sprett s’absente quelque peu dans le bazar…
Je note qu’elle porte toujours le pendentif lorsque nous rentrons à l’hôtel.

9 juillet 1989

Au matin, 2 nouvelles tombent ! Nous apprenons enfin l’identité de notre dernière victime. Elle se nomme Hélène Rice, sa famille vit dans le Névada. Mais la seconde nouvelle est plus qu’inattendue ! Le meurtrier des 3 jeunes filles vient de passer aux aveux, il s’agirait de la 4eme adolescente de la photographie. J’ai peine à croire qu’une jeune fille ait pu faire des actes aussi odieux. Dubitatif nous partons donc au poste pour l’interroger. Nous supposons que des présences féminines la mettront davantage en confiance. En effet en chemin nous découvrons les détails de cette sordide affaire. Emilia Vasquez aurait assassiné ses amies par vengeance, une semaine auparavant ces dernières auraient amené Emilia à subir des violences sexuelles. Accompagnée de son avocat la jeune fille confirme nos craintes. L’agent Sprett essaie à force de calme et de psychologie de vérifier qu’Emilia ne parle pas sous une quelconque pression mais face à son obstination nous abandon. Nous essayons toutefois de lui faire dire le nom de ses agresseurs mais elle refuse par peur de représailles sur sa famille. La rassurer sur sa sécurité et sur celle que nous pouvons apporter à sa famille n’y fait rien, elle n’ajoutera rien pour sa défense.
Je suis stupéfaite du courage (ou de l’inconscience) d’une aussi jeune fille. Il faut croire que la vie dans ce quartier forge les caractères. Je suis désolée pour elle mais je suis également impuissante. Et puis une jeune femme réclame encore que justice soit faite !
Nous quittons donc l’état de la Californie et sa chaleur insupportable pour nous diriger vers le Nevada. Nous espérons en apprendre davantage sur notre victime et ainsi cerner un peu mieux les raisons de son meurtre.
Nous arrivons dans la ferme familiale et sommes accueillis par M. Rice et sa femme. Nous les informons de la raison de notre présence, de la mort de leur fille mais les réactions sont insensées. Alors que Mme Rice font en larme, M. Rice nous fait comprendre que le prénom d’Hélène est interdit sous son toit. Il quitte la maison nous invitant à en faire autant. Nous essayons toutefois d’interroger la mère sur la situation mais son fils le plus âgé nous en empêche. Mme Rice finit par se ressaisir et accepte de nous raconter l’histoire. Hélène était semble t il la rebelle de la famille bien décidée à ne pas finir sa vie dans cette ferme. Il y a un an environ, employée au snack du coin elle vole dans la caisse à plusieurs reprises. Le patron le découvre, et prévient son père. S’ensuit une violente dispute et la disparition d’Hélène.
Pourtant il y a 4 mois environ, Mme Rice a reçu une lettre de sa fille postée de Las Vegas. Il semble que tout va bien, elle lui laisse même son adresse.
Notre piste pour retracer les derniers mois d’Hélène ne se termine donc pas ici, nous partons le jour même pour Las Vegas.

[Haize]

C dingue tout ce qu'on a fait pendant ce scénar!!
pfff vraiment énorme!
bon c pas fini mais si vous avez des corrections à apporter allez y je me souviens pas de tout et surtout chronologiquement je suis un peu perdue lol!!

[shaman]

L' enquête sur l'Affaire Hélène Rice bat son plein , l enquête se poursuit .....
J apporterais quelques points pour la fin , et pour les dâtes plus tard !

[Bob Fortune]

Ca donne envie… !

Merci pour ce résumé, en espérant être à la table de jeu la prochaine fois.

A++

[Haize]

Sans attendre nous nous dirigeons vers la dernière adresse connue d’Hélène Rice. Nous rencontrons la concierge de l’immeuble qui peine à se souvenir d’une Hélène Rice. Nous lui montrons donc une photo, elle la connaît en effet mais sous le nom de Samantha Kitch. Son nom d’artiste à priori. Nous apprenons alors qu’il y a 4 mois elle était chanteuse au Sundance une boite non loin, qu’elle était follement amoureuse d’un certain Tony et qu’elle se prostituait également. Bien, nous nous enfonçons dans le sordide. Nous partons donc pour le Sundance. La boite est ouverte (des femmes dansent à moitié nues ce qui n’est pas pour déplaire les agents Miller, Gibson et Branson ! Je sens alors qu’ils ne nous seront pas d’une grande aide…). Mais nous n’avons pas de temps à perdre, je demande à voir le patron, un certain Franck Palais. Je ne suis pas déçue lorsqu’accompagnée par des gorilles, je rentre dans le bureau d’un homme tout ce qu’il y a de plus puant !! (ouh là je m’emballe… !) L’échange est court, il se souvient de Samantha disparue du jour au lendemain et me conseille d’interroger une danseuse du nom de Tracy (elle est d’ailleurs en train de se trémousser sous le menton de mes collègues mâles…). Je quitte la pièce, en informe mes collègues et prie (malgré les contestations de nos 3 hommes en rut) Tracy de bien vouloir m’accompagner dans un endroit plus calme pour discuter. Elle reconnaît avoir été amie avec Samantha mais n’ajoute rien. Je sens bien qu’elle nous cache des choses et face à son arrogance je décide de l’amener au poste. Nous sommes bien sur dans notre droit mais les gorilles de Palais ne semblent pas entrain à nous laisser sortir. Les agents Miller, Gibson et Branson sortent alors de béatitude et réagissent en agent du FBI (il était temps…).
Une fois au poste, Tracy nous donne du fil à retordre. Nous lui proposons un avocat mais elle refuse. Elle s’obstine à se taire alors que nous comprenons bien qu’elle a des noms à nous donner, mais elle joue avec nous. Elle s’autorise même à me frapper au visage. Mes collègues m’éloignent par sécurité. Ils apprennent tout de même le nom de Tony, Véga. Il semblerait qu’il soit proxénète. Tracy appelle finalement son patron qui on ne sait par quel enchantement, la fait sortir de cellule. J’entends dans les couloirs, l’agent Gibson prendre rendez vous avec Tracy, et je tente en vain de me convaincre de ses bonnes intentions (qui sait, on avoue des choses sur l’oreiller…).
Alors que Branson part surveiller les aller et venues de nos suspects, l’agent Sprett et moi partons chez Véga. Celui-ci nous ouvre trop confiant. Il manigance quelque chose et nous ne sommes pas surpris lorsqu’un quart plus tard son avocat arrive (on sent alors l’expérience du scélérat… non ce n’est pas un jugement de valeur !). Entre temps nous prenons la peine de téléphoner à nos collègues craignant un temps un traquenard. Il n’en est rien mais l’avocat de Véga a tout prévu, son client ne répondra qu’a une question à condition qu’aucune poursuite ne soit retenu contre lui. Nous n’avons pas le temps de nous attarder, il nous faut des réponses nous signons donc son contrat ce qui nous vaudra la réprobation de Gibson plus tard. Tant pis, nous comprenons comment Hélène Rice à terminer à Los Angeles. Véga l’a vendu il y a de ça 3 mois à un trafiquant mexicain du nom de Salomon.
Nous revoilà donc au point de départ, Los Angeles ! Nous avons finalement peu avancé, l’ignoble meurtre d’Hélène garde encore tout son mystère. Si encore elle avait été simplement étranglée ou que sais je, mais rien dans son passé n’explique la violence de son assassinat !

Mais c’est sans compté sur l’appel de la police de Los Angeles qui nous informe de la situation plus que tendu du quartier hispanique. En effet il semblerait que le meurtrier d’Hélène est été repéré suite à un double meurtre sur des membres du gang des Maravillas.
Celui-ci est en branle et tente de récupérer des armes auprès des Tigers un gang japonais. Esteban Guardos se fait justicier et s’engage dans une chasse à l’homme.
Je suis plus que dubitative sur le profil et les motivations de notre tueur… D’abord une femme, qu’il torture odieusement puis 2 « simple » crimes qui semble être pris comme un affront personnel par le chef d’un des plus dangereux gangs ! Où avons-nous mis les pieds ?!

De retour à L.A nous apprenons que le tueur se cache probablement dans les égouts. Nous avons de l’avance sur Guardos et ne voulant donc pas perdre de temps, munis des plans des égouts nous nous engageons dans les tortueux tunnels.
Nous errons quelques temps puis nous apercevons une silhouette au loin. Nous nous lançons à sa poursuite. Puis tout s’accélère, nous entendons les voix des Maravillas alors que s’échangent des tirs entre l’ombre et Gibson. Les pas des hispaniques s’approchent, nous allons être pris entre 2 feux. Je tente alors de calmer Guardos, lui commande de ne pas tirer, que nous sommes là pour les mêmes raisons. Il affirme ne pas vouloir tirer sur le FBI mais insiste pour se faire justice lui-même. Les tirs commencent à fuser de tous les côtés lorsque je me retrouve à proximité du tueur. Il semble confus, et penser que nous sommes des « viets ». Il n’est pas dans un état normal mais il n’en reste pas moins dangereux, lui ordonner de se rendre semble inutile. J’ouvre alors le feu. Touché, il ne semble pourtant pas déstabilisé, il continu de fuir à la nage. Je tire de nouveau dans l’eau et c’est à la hauteur de Gibson que son corps remonte. Gibson le sort alors de l’eau, il est encore vivant. C’est incroyable, son corps porte la trace de multiples blessures mais il respire encore.
Nous négocions tant bien que mal avec Guardos de nous laisser l’amener à l’hôpital pour le soigner. Il cède nous conseillant, un sourire en coin, cependant, de ne pas le laisser sans surveillance ! Nous sortons à l’air libre et une armée d’hispanique nous attendent. Guardos tient quand même sa promesse.

[Haize]

bouh tant pis la suite plus tard... je vais me coucher, si g pas mon concours on saura pourquoi lol!

[shaman]

Merci a toi pour ce résumé !!!

[Haize]

Une fois à l’hôpital nous attendons que notre suspect se réveille. Et lorsqu’il est conscient nous tentons un interrogatoire. Le discours est plus que confus, il parle de magie, de secte, d’un grand pouvoir mais l’essentiel est que nous en retirons 2 noms connus du FBI, Emilio et sa femme Maria Aldoverde. Les coïncidences sont troublantes. Se sentant probablement compromise nous apprenons que Maria Aldoverde a été vue prenant un avion pour un ranch au Mexique. Ainsi nous apprenons notre nouvelle destination !
Par sécurité nous prenons le temps de transférer le suspect au commissariat. Mais c’est inutile ! En effet le temps de préparer nos affaires pour le Mexique nous apprenons qu’il a disparu. Nous nous précipitons au commissariat mais les faits sont là, la cellule fermée est vide. Nous sommes abasourdis par ce que nous voyons (ou pas) mais le temps presse et il nous faut partir.
Une opération est décidée pour arrêter les Aldoverde. Avec l’aide de la police locale et d’une équipe spéciale nous commençons à encercler le ranch. Nous le savons particulièrement bien gardé, l’opération va être délicate. Mais nous nous engageons. Aux premiers coups de feu, l’inattendu se produit ! Une tempête se rapproche dangereusement. Déjà du sable s’infiltre partout. Nous pénétrons dans le ranch. Nous sommes coincés, pris au piège. Dans la pénombre la plus totale nos équipes se déploient essuyant de lourdes pertes. Puis enfin nous entendons le capitaine de l’opération nous dire que tout est sous contrôle. Pourtant aucune trace des Aldoverde. Le ranch est fouillé lorsque derrière une armoire nous découvrons un passage, un long couloir sombre s’enfonçant dans le sol. Nous descendons progressivement éclairés par nos mag-lite. Etrangement une lumière apparaît au fond, du bruit, un chant, du mouvement.
Les Aldoverde sont là, dans une pièce circulaire sans autre issu que celle dont nous venons !
La scène est pour le moins étrange, Maria se tient derrière une colonne de pierre, Emilio et un homme de main derrière un paravent de bois et tous murmurent une étrange psalmodie. Au centre sur un autel se tient prostrée Amanda Campbell dont nous avions appris sa disparition quelques heures plus tôt sans trop s’en inquiéter. La situation est plus qu’invraisemblable ! Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises lorsque surgit devant nous, venue de nulle part, une monstrueuse araignée de taille humaine. La bête est gigantesque et porte sur son dos une immense queue. Paniqués par cette vision complètement irréelle nous vidons nos premiers chargeurs. Les balles semblent effleurer l’animal. Puis l’araignée attaque, elle saisit l’agent Sprett et malgré nos ripostes commence à l’enrouler dans un filin. Nous tentons en vain de la sortir de là. Et puis cela devient évident, il faut arrêter les Aldoverde. Tant est que l’on puisse l’accepter, ils sont responsables de la bête, ils la contrôlent. Nos armes se tournent vers eux, Emilio est difficilement touchable mais nous arrivons à abattre Maria. Aldoverde et son homme de main semblent alors réaliser notre présence et ripostent. L’homme de main s’effondre.
Mais soudain Aldoverde se met à courir vers le couloir. Qu’espère t il ? Gibson tire, les balles touchent, Aldoverde ne vacille pas. Il poursuit sa course dans ma direction comme si les balles l’avaient traversé, pas une trace de sang, pas un impact. Je prends alors les devants afin de prévenir l’équipe en attente à l’entrée. Je les informe, ils me regardent interloqués. Il n’y a personne derrière moi ! Pourtant je peux jurer qu’il était à quelques pas. Je commence à envisager la situation lorsque l’un des agents abat 2 de ses collègues, il semble incontrôlable puis tout d’un coup cesse, interdit. Aldoverde est là, dans la pièce ! Nous pouvons sentir sa présence mais nous ne le voyons pas. Et puis plus rien, nous sommes seuls. Au loin j’entends le combat prendre fin. L’araignée a disparu, Aldoverde s’est volatilisé, comme notre tueur.
L’invisibilité, oui un grand pouvoir.

Nous sommes sidérés par ce que l’on vient de vivre. Aucune des explications que nous retournons dans nos têtes ne sont satisfaisantes. Enfin pour certains le choc est moins important qu’il ne devrait l’être. J’observe tour à tour les agents Sprett, Miller et Gibson et bien que déroutés, leur esprits semblent plus clairs que le mien ou celui de Branson.
Nous rentrons à Los Angeles avec le goût amer de ne pas avoir abouti. Nous n’avons rien, aucun indice, des coupables dans la nature, des victimes tourmentées…

[shaman]

Et b perso , j ai pas grand chose a rajouter , joli résumé et encore merci pour cette partie !
Sa me motive à continuer ......

[yoman]

C'est ma foi fort sympathique de rencontrer un (de) nouveau conteur dans c'te section...

Mais si les joueurs ne s'entre assassinent plus que deviendra le sens dramatique d'un Cthulhu!
Et s'il n'y a pas de Minigun à quoi bon pourchasser du profond en 1990?

[shaman]

Normal que les joueurs ne se tirent pas dessus pour un début , ils n osent pas encor , ils préfèrent d abord faire connaissance !
Et puis non il n y avait pas de minigun mais presque tous étaient armés de MP5 ou M16 donc pour arreter un homme je pense que sa devrait suffir !!!
Pour le final y a quand m^m eu un groupe d intervention armé jusqu au dent + 2 hélicoptères , lance flammes etc.....
Breff que du bon !

[Psychopat]

Très bon résumé et je remercies le conteur et le meujeu pour leur boulot.

Quelques petites erreurs se sont glissés dans le texte:
Il faut lire:

- Sainte Barbe et non sainte barbara...

- " Mais soudain Aldoverde se met à courir vers le couloir. Qu’espère t il ? Gibson tire, les balles touchent, Aldoverde ne vacille pas. Il poursuit sa course dans ma direction comme ci les balles l’avaient traversé, pas une trace de sang, pas un impact. Je prends alors la fuite afin de m'éloigner de tant d'horreurs. "

Ensuite, c'est moi qui est degommé le tueur fou dans les égouts, étant donné que mon co-équipier était armé comme pour la chasse à la grive.

A+

[Haize]

mouai... enfin en même voilà quoi... ben ca faisait un peu peur non..??

[shaman]

Comme tu dis mouais ........!!!
Le plus dur dans ces genres de jeu est de retranscrire la peur et l horreur que voient les personnages.
Et heureusement qu il y a des personnes qui ressentent ces émotions la et qui permettent a d autres personnes de les ressentir ; ce qui permet un certaine ambiance .

[Psychopat]

Heureusement pour nous que personne n'était arachnophobe !

[Bob Fortune]

Sans commentaire !!!

[yoman]

C'est magique la peur, et je suis à fond d'accord avec Shaman. Je sors de 30 jour de nuit et ça fait du bien cette petite sensation.

Si personne ne devait avoir du stress ou de la peur à Cthulhu, je me demanderais bien ou auraient finit par s'enfoncer les derniers grands anciens (à la rue gamma sans doute)... en dépit de ce que je dis je prie de ne jamais voir un investigateur se faisant photographier fusil à l'épaule sur la dépouille de Nyarlathothep en arbhorant un plein collier de fémurs de zélotes de Dagon...

Et yo, je remiserais donc la minigun et resortirais comme de juste le fleuret à la scaramouche pour la prochaine!

[yoman]

Tiens mine de rien c'était sympa la derniére le Shaman, des petits regrets d'avoir vu périr le romain's (pas juste), une grosse impression d'avoir été mené en bateau, un merci à la dame Drak pour avoir pris les balles pour moi puis à 7 c'était le bocson mais bon y'a eu de la rigole...

Par contre pas moyen de me faire entrer dans l'assoc trop louche du Pat (la chef Condoleeza Rice non mais!), j'suis un investigateur indépendant m'sieur! Par contre s'ils réouvrent les affaires non classé au FBI, je suis partant.

Et puis bon anniversaire surtout, finalement c'est bien moi le vrais senior...

[Psychopat]

Un agent du FBI independant cela n'existe pas...

[yoman]

"Tiens Gibson, vous ici, décidement ce n'est pas deux, ni quatre (avec les infras), mais bien quinze yeux dont vous disposez.
En tout cas foi de Sherlock Onirek, je veux toujours bien que nous menions ensemble des enquêtes dans le cadre de missions de protections civiles, par contre il est au vu des élements dont je dispose, hors de question que je recoive mes consignes de quelconques mentors invisibles qui ont la grande courtoisie de nous laisser cramer les orbites quand les choses deviennent intéressantes ou de vous bourrer de somnif tout juste bon à gâter le verre de petit Loiret."

"Contre toute allégeance, je prêcherais l'indépendance et la transparence jusqu'à ma délivrance!"

"Allez vous prendrez bien de ce vieux bourbon de 15 ans que je viens de vous servir en toute franchise!"

[Psychopat]

... Et que vous auriez fait tout seuls ??? Il est des aides qu'on peut accepter quelquefois...

[yoman]

"Gibson, il y a une certaine constance dans les choses en ce que vous ne m'entendez pas...
Je vais donc vous répéter mon discour de ce samedi matin:

"Hum, Hum,... Ecoutez Gibson, je vous respecte et je participerais encore volontier à vos enquêtes mais en ce qui concerne votre société de recherche et de lutte contre le paranormal de ce que j'en ai perçu c'est nada pour que je la rejoigne!
Point final... je ne dis pas que si il advenait que je discerne autre chose que je ne pourrais changer d'avis mais à l'heure qu'il est, Schtonk."

"Peut être que si la chose avait été amené autrement mais avec des si, on aurait aussi put sauver nos compagnons..."

[shaman]

Mes chers enquêteurs du FBI que dire :
-Lorsque vous rentrez chez vous, vous vous sentez observer, peut être par cet homme qui tient un journal assis sur un banc en face des bureaux de Washington !
Ou peut être par ces agents de maintenance qui sont entrain d ' enlever les décorations de Noël ou tout simplement parmis ces touristes qui sont entrain de faire une visite guidée des plus beaux monuments de notre belle ville !

Breff aucune tranquilité sereine, toujours des yeux qui se posent sur vous ....

Puis Yo et Lady Emma des e-mails cryptés arrivent dans vos messageries personnelles.
Des séries de chiffre et de lettre , qui ne seront pas déchiffrés, peut être un virus ?

Lorsque un ordre de mission vient vous être donner :
Rdv - o - prochain - scénario -agent- du-FBI .

[Psychopat]

Observé par l'homme à la cigarette ?

[Lady Emma]

Ouais, ben fréquenter Gibson et ses copains, après, ça vous laisse des trucs chelous en tête...