Je lance le Thread pour faire vivre cette table. Les personnages sont variés, il y a quelques traits de caractères qui vont être rigolos à voir cohabiter :
- Le noble soit il se fait lyncher, soit il devient capitaine c'est tout l'un ou tout l'autre.
- Le p'tit mousse, il nous cache quelque chose, c'est pas humain d'être si conciliant.
- Le gabier a des regards bizarres, surtout quand le noble est présent.
- Les 2 autres ne disent pas grand chose et ça aussi c'est louche.
- Mon perso, et c'est surtout là que je veux en venir, me pose problème. En effet je me demande si c'est jouable un mahometan pirate, qui ne boit pas et qui ne parle normalement pas (Charisme 4 et expression 3). J'ai souvent du prendre sur moi pour me taire car en dire plus n'aurait pas été compatible avec mes stats. Je pensais jouer une sorte de vieux croulant un peu médecin à la place (tout en gardant les élèments importants du BG du maure), histoire de proposer quelqu'un de plus identifiable et surtout plus haut en couleur. Qu'en pensez vous ? Et surtout qu'en penses tu Bill, oh Grand Maître ?
Rien à voir : aprés 15 ans sans jouer, tout ça m'a redonné envie aussi je voulais :
- vous remercier tous pour votre accueil, vraiment, ce n'est pas si évident d'integrer un nouveau et surtout de le faire avec autant de décontraction et de .... (bon ça suffit vous avez compris :p)
- ça m'a aussi redonné envie de masteriser un jour, je pensais à Capharnaum, y a des gens intéressés juste pour voir ?
Pavillon noir le 08 mai
Re: Pavillon noir le 08 mai
Rah oui bien sympa le camarade!
Il se peut même que j'y ressorte la plume de mon côté sous peu. (Niah!)
Il faut pas hésiter à repasser pour Bill puis pour d'autre chose comme ta maîtrise future de Capharnaüm.... pour cette derniére attends peut être un peu, beaucoup de choses me semble se lancer en ce moment (on a parfois des problémes d'engorgement suivit de période plus calme).
A plus,
Il se peut même que j'y ressorte la plume de mon côté sous peu. (Niah!)
Il faut pas hésiter à repasser pour Bill puis pour d'autre chose comme ta maîtrise future de Capharnaüm.... pour cette derniére attends peut être un peu, beaucoup de choses me semble se lancer en ce moment (on a parfois des problémes d'engorgement suivit de période plus calme).
A plus,
L'Honneur, c'est ce que l'on ne peut vous prendre et ce que l'on ne vous donnera jamais...
Comment savoir que tu en as?
Ne t’inquiètes pas de cela. Cela grandit en toi, et cela te parle. Tout ce que tu as à faire c'est d'écouter.
Comment savoir que tu en as?
Ne t’inquiètes pas de cela. Cela grandit en toi, et cela te parle. Tout ce que tu as à faire c'est d'écouter.
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shaman
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Re: Pavillon noir le 08 mai
Ouais c'était bien sympa !
Et o plaisir de te revoir sur de futures parties !
Et o plaisir de te revoir sur de futures parties !
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BillBokay
Re: Pavillon noir le 08 mai
Et bien, tout le plaisir était pour moi (nous ?) ! Tu peux changer tout ou partie de ton personnage, je préfère quand les changements se fond en douceur (du genre, je te tue ton personage (c'est tellement rare dans mes parties que je c'est un grand plaisir pour moi de le faire !) ou il fait quelque chose qui l'éloigne de la table, ou tout autre raison, et PAF ! tu joue quelqu'un d'autre qui peut avoir exactement le même background et qui comme de par hazard se trouve sur le même bateau et a les mêmes amis et possèdes les mêmes choses ! Sisisi, c'est possible les coincidences !), mais vu que c'était le premier scénar (enfin... le début du premier scénar !), que vous n'êtes pas encore complètement soudés en un groupe bien défini, ton maure pourrait très bien avoir un accent du sud de la france ou même Breton, et avoir passé un peu trop de temps au soleil (c'est dangeureux de s'endormir sur la plage sans protection !),
Mais comme je te l'ai dit, pour moi, la fiche de personnage, c'est juste des chiffres, tu n'es pas obligé de jouer comme les chiffres l'indiquent (même si c'est vrai qu'il peut être étrange un joueur qui parle bien et qui n'arrive pas à convaincre un simple matelot à cause de ses jets de dé ratés...)
Mais comme je te l'ai dit, pour moi, la fiche de personnage, c'est juste des chiffres, tu n'es pas obligé de jouer comme les chiffres l'indiquent (même si c'est vrai qu'il peut être étrange un joueur qui parle bien et qui n'arrive pas à convaincre un simple matelot à cause de ses jets de dé ratés...)
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BillBokay
Re: Pavillon noir le 08 mai
Bon, j'ai pas envi de travailler, je vais donc essayer de faire un petit résumé de ce qui a été joué. Corrigez moi si vous le pouvez. Je n'ai pas vos noms sous les yeux, donc si vous pouviez me les rappeler ici je vous en saurais très reconnaissant.
27 mai 1718, Brest.
Le soir commence à tomber sur la rade de Brest. Les "douces" senteurs du port se mêlent à l'activité grandissante des auberges qui commencent à se remplir à mesure que le soleil se couche. Une légère brume qui persiste depuis des jours et des jours cache la mer aux regards des passants. Vous vous trouviez tous à ce moment là non loin des Quais, certains déjà en train de boire une bonne liqueur de pommes bretonne au Fou de Bassan, une auberge réputée autant pour ses mets délicats que pour ses filles de joies.
Une Yole se déplace lentement vers les Quais, elle semble venir de l'Espadon, grande Frégatte du roy qui mouille non loin du port. Elle ne peut pas y pénétrer, toute une flotte y encombre les différents arsenaux. On parle beaucoup de ça d'ailleur sur les quais, la flotte du ponant étant à quais pour radouber, elle monopolise toute la main d'oeuvre et gêne quelque peu les activités des pauvres pêcheurs.
Sur la Yole, un grand homme, l'air vieilli par l'expérience se tiens debout. Il s'agit du capitaine de Clichy, homme ôh combien respecté de ses hommes et de ses pairs. Il descend à terre avec ses officiers et ses passagers pour recruter les mains qu'il lui manque en vue de faire une longue traversée vers les indes. Une simple mission d'escorte avec du matériel lourd pour les plantations du gouverneur de St Domingue (pour vous situer : Haiti maintenant).
Une fois à terre, plusieurs personnes se mettent à placarder des affiches sur les quais. Quelques passants s'arrêtent regarder, la plupart passent leur chemin. Une petite dizaine d'hommes se rendent ensuite au Fou de bassan, beaucoup sont bien habillés, visiblement quelques personnes de hautes naissance accompagnant les officiers du navire.
Dans l'auberge, une table est reservée, tous les officiers et les nobliaux s'y installent pour manger pendant que deux hommes restent un peu à l'écart pour procéder au recrutement. Ces deux hommes sont aussi différent qu'il est possible, un peu comme si vous vouliez comparer une souris avec une charue à boeufs. L'un est petit, mal habillé, il semble vieux et fatigué, il est légèrement vouté et a un bras en moins. Tout le monde l'appelle "La Trique", c'est le maitre d'équipage, le "bosco". ce soir là il a pour rôle de recruter quelques membres supplémentaires à son équipage en compagnie de Mr De Jarnac, le second de l'Espadon. De Jarnac est grand et élancé, une chevelure noire abondante lui cache les oreilles et met en avant son regard noir et perçant que donne des frissons à quiconque tourne la tête vers lui. Il ne parle pas, il observe, et ne dis que quelques mots à l'oreille de La Trique ou quelques questions précises pour certains engagés.
Plusieurs personnes fond la queue pour se faire engager. La solde n'est pas ennorme (une pièce de 8 par mois pour les matelots, une et demi pour les gabiers), mais tout de même correcte, et le fait de s'engager volontairement assure de pouvoir revenir à terre dans 5 ou 6 ans (et oui, il y en a qui le croient encore...). On peut remarquer qu'ils engagent un peu tout et n'importe qui, ils manquent de bras dans la marine et ne fond pas vraiment les difficiles (Les quelques questions posées semblant être là uniquement parce que j'avais envie de parler), ainsi, un jeune homme qui n'a pas vingt ans se fait engager alors qu'il n'est visiblement jamais monté sur un navire ! Pour cette traversée nous feront aussi avec deux Basques ! Ils pourront monter dans les voiles, c'est bien un basque, c'est solide quand ça tombe, ça casse pas facilement, on verra bien ce coup-ci ! Le personnage de Guy je ne me souviens plus à quel poste je l'ai embauché... ça fera de la chair à canon de toute façon, c'est surtout pour ça que vous montez sur ce navire ! non ? Et on a même un espèce de... Je ne saurais trop le décrire, il doit venir de l'Est, avec un accent fort désagréable ! Heureusement, c'est costaud ces gars là, et on n'est pas vraiment embêté pour annoncer leur mort à leur famille.
A la table des personnes bien habillées, le capitaine de Clichy semble se quereller avec un quelconque Noblio qui en vient presque aux armes. C'est domage, ça s'est arrêté là... Ca aurait été sympa de voir Mr de Clichy à l'oeuvre, il est réputé pour être un des meilleurs escrimeurs français des caraïbes. Les jeunes nobliaux de la cour ne sont plus les mêmes de nos jours, ils n'ont plus la poigne ni la fougue de ceux d'entant. Tant qu'ils ont leurs belles dentelles et leur panse bien remplie, rien d'autre ne les intéresse !
C'est donc parti pour découvrir l'Espadon, une belle frégatte qui en a vu de belles depuis sa mise à l'eau des arsenaux de Bordeaux. 200 tonnaux, 28 cannons, 140 hommes d'équipage, une vitesse de pointe de près de huit noeuds ! C'est tout de même impressionnant ! Même s'il est vrai qu'elle fait pâle figure à coté des ennormes deux ponts et trois ponts (certe peut nombreux) de la flotte du Ponant (pour précision, la flotte du Ponant est la flotte sensée faire le lien entre la France et l'amérique (nouveau monde), Contrairement avec la Flotte du Levant qui allait de l'autre coté du monde !)
27 mai 1718, Brest.
Le soir commence à tomber sur la rade de Brest. Les "douces" senteurs du port se mêlent à l'activité grandissante des auberges qui commencent à se remplir à mesure que le soleil se couche. Une légère brume qui persiste depuis des jours et des jours cache la mer aux regards des passants. Vous vous trouviez tous à ce moment là non loin des Quais, certains déjà en train de boire une bonne liqueur de pommes bretonne au Fou de Bassan, une auberge réputée autant pour ses mets délicats que pour ses filles de joies.
Une Yole se déplace lentement vers les Quais, elle semble venir de l'Espadon, grande Frégatte du roy qui mouille non loin du port. Elle ne peut pas y pénétrer, toute une flotte y encombre les différents arsenaux. On parle beaucoup de ça d'ailleur sur les quais, la flotte du ponant étant à quais pour radouber, elle monopolise toute la main d'oeuvre et gêne quelque peu les activités des pauvres pêcheurs.
Sur la Yole, un grand homme, l'air vieilli par l'expérience se tiens debout. Il s'agit du capitaine de Clichy, homme ôh combien respecté de ses hommes et de ses pairs. Il descend à terre avec ses officiers et ses passagers pour recruter les mains qu'il lui manque en vue de faire une longue traversée vers les indes. Une simple mission d'escorte avec du matériel lourd pour les plantations du gouverneur de St Domingue (pour vous situer : Haiti maintenant).
Une fois à terre, plusieurs personnes se mettent à placarder des affiches sur les quais. Quelques passants s'arrêtent regarder, la plupart passent leur chemin. Une petite dizaine d'hommes se rendent ensuite au Fou de bassan, beaucoup sont bien habillés, visiblement quelques personnes de hautes naissance accompagnant les officiers du navire.
Dans l'auberge, une table est reservée, tous les officiers et les nobliaux s'y installent pour manger pendant que deux hommes restent un peu à l'écart pour procéder au recrutement. Ces deux hommes sont aussi différent qu'il est possible, un peu comme si vous vouliez comparer une souris avec une charue à boeufs. L'un est petit, mal habillé, il semble vieux et fatigué, il est légèrement vouté et a un bras en moins. Tout le monde l'appelle "La Trique", c'est le maitre d'équipage, le "bosco". ce soir là il a pour rôle de recruter quelques membres supplémentaires à son équipage en compagnie de Mr De Jarnac, le second de l'Espadon. De Jarnac est grand et élancé, une chevelure noire abondante lui cache les oreilles et met en avant son regard noir et perçant que donne des frissons à quiconque tourne la tête vers lui. Il ne parle pas, il observe, et ne dis que quelques mots à l'oreille de La Trique ou quelques questions précises pour certains engagés.
Plusieurs personnes fond la queue pour se faire engager. La solde n'est pas ennorme (une pièce de 8 par mois pour les matelots, une et demi pour les gabiers), mais tout de même correcte, et le fait de s'engager volontairement assure de pouvoir revenir à terre dans 5 ou 6 ans (et oui, il y en a qui le croient encore...). On peut remarquer qu'ils engagent un peu tout et n'importe qui, ils manquent de bras dans la marine et ne fond pas vraiment les difficiles (Les quelques questions posées semblant être là uniquement parce que j'avais envie de parler), ainsi, un jeune homme qui n'a pas vingt ans se fait engager alors qu'il n'est visiblement jamais monté sur un navire ! Pour cette traversée nous feront aussi avec deux Basques ! Ils pourront monter dans les voiles, c'est bien un basque, c'est solide quand ça tombe, ça casse pas facilement, on verra bien ce coup-ci ! Le personnage de Guy je ne me souviens plus à quel poste je l'ai embauché... ça fera de la chair à canon de toute façon, c'est surtout pour ça que vous montez sur ce navire ! non ? Et on a même un espèce de... Je ne saurais trop le décrire, il doit venir de l'Est, avec un accent fort désagréable ! Heureusement, c'est costaud ces gars là, et on n'est pas vraiment embêté pour annoncer leur mort à leur famille.
A la table des personnes bien habillées, le capitaine de Clichy semble se quereller avec un quelconque Noblio qui en vient presque aux armes. C'est domage, ça s'est arrêté là... Ca aurait été sympa de voir Mr de Clichy à l'oeuvre, il est réputé pour être un des meilleurs escrimeurs français des caraïbes. Les jeunes nobliaux de la cour ne sont plus les mêmes de nos jours, ils n'ont plus la poigne ni la fougue de ceux d'entant. Tant qu'ils ont leurs belles dentelles et leur panse bien remplie, rien d'autre ne les intéresse !
C'est donc parti pour découvrir l'Espadon, une belle frégatte qui en a vu de belles depuis sa mise à l'eau des arsenaux de Bordeaux. 200 tonnaux, 28 cannons, 140 hommes d'équipage, une vitesse de pointe de près de huit noeuds ! C'est tout de même impressionnant ! Même s'il est vrai qu'elle fait pâle figure à coté des ennormes deux ponts et trois ponts (certe peut nombreux) de la flotte du Ponant (pour précision, la flotte du Ponant est la flotte sensée faire le lien entre la France et l'amérique (nouveau monde), Contrairement avec la Flotte du Levant qui allait de l'autre coté du monde !)
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BillBokay
Re: Pavillon noir le 08 mai
A bord de l'Espadon, Gwen Lossec, le Quartier Maitre vous montre vos "Quartiers". Certains d'entre vous découvrent ainsi qu'ils vont passer les prochaines années légèrement entassés, à dormir dans des branles (hamacs) avec comme seules possessions ce que vous arriverez à faire rentrer dans un tout petit coffre (et après y avoir rangé quelques vêtements, n'espérez pas y ajouter grand chose d'autre).
Durant la soirée, vous faites connaissances avec quelques membres de l'équipage. Ceux qui se trouvent le plus proche de votre branle sont Frédéric Bichon (tout le monde l'appelle le Bichon, certains Tête de pioche) qui se révèle être un des hommes les plus respecté du bord (principalement dû à son agilité dans les mats, il est gabier), David Bucheron (dit "La buse" pour son regard perçant), est vigie. Jean Combu, un autre gabier, il parle peu mais passe beaucoup de temps avec Bichon. Thiery Gentil, un autre gamin comme celui qui est monté avec vous. L'a pas l'air d'être plus doué que l'autre d'ailleur ! Gérard Colin, Chef de pièce. On l'appelle "le boiteux" depuis qu'il a perdu une jambe en canonant un navire anglais au large de Cuba. Il y a aussi Jacques Tourmin, un des rares conscrits du bord, il est recrocquevillé dans son hamac et ne parle que d'une chose : retrouer la liberté et rentrer chez lui.
Un peu plus tard, le soleil déjà bien couché, Mr de Clichy fait un petit discour de bienvenu aux petits nouveaux, et retourne s'entretenir avec le commandement du navire où un gros incident falli se produire : il a sorti l'épée contre un noble qui lui manquait de respect. Le duel fut évité heureusement, et de Clichy invita même cet homme à diner pour qu'ils puissent s'entretenir de leurs différents avant le voyage.
Le lendemain se passe, plusieurs matelots sont appellés comme escorte. Trop heureux de se rendrent à terre et de ne pas attendre sur ce navire qui est tout de même horriblement ennuyant quand il n'est pas en mer, les matelots accceptent et se rendent donc avec Mr De Clichy et le nobliau sur les quais où les attend un très beau carrosse. A l'intérieur se trouvent Mme et Mlle de Clichy qui n'ont pas vue leur mari depuis des mois et qui vont le perdre pour deux mois encore dans deux ou trois jours.
Le trajet se passe sans encombre... tout du moins durant les deux premières heures. Une attaque de brigant survient alors que le carosse entre sur les terres du capitaine. 10 hommes habillés de noir et d'un foulard s'attaquent au carrosse et ses occupant, et semblant viser en priorité Mr de Clichy. Celui-ci tombe très vite, touché par 4 balles, avant que l'escorte ne parvienne à maitriser les malfrats qui tentaient de s'enfuir.
Durant la soirée, vous faites connaissances avec quelques membres de l'équipage. Ceux qui se trouvent le plus proche de votre branle sont Frédéric Bichon (tout le monde l'appelle le Bichon, certains Tête de pioche) qui se révèle être un des hommes les plus respecté du bord (principalement dû à son agilité dans les mats, il est gabier), David Bucheron (dit "La buse" pour son regard perçant), est vigie. Jean Combu, un autre gabier, il parle peu mais passe beaucoup de temps avec Bichon. Thiery Gentil, un autre gamin comme celui qui est monté avec vous. L'a pas l'air d'être plus doué que l'autre d'ailleur ! Gérard Colin, Chef de pièce. On l'appelle "le boiteux" depuis qu'il a perdu une jambe en canonant un navire anglais au large de Cuba. Il y a aussi Jacques Tourmin, un des rares conscrits du bord, il est recrocquevillé dans son hamac et ne parle que d'une chose : retrouer la liberté et rentrer chez lui.
Un peu plus tard, le soleil déjà bien couché, Mr de Clichy fait un petit discour de bienvenu aux petits nouveaux, et retourne s'entretenir avec le commandement du navire où un gros incident falli se produire : il a sorti l'épée contre un noble qui lui manquait de respect. Le duel fut évité heureusement, et de Clichy invita même cet homme à diner pour qu'ils puissent s'entretenir de leurs différents avant le voyage.
Le lendemain se passe, plusieurs matelots sont appellés comme escorte. Trop heureux de se rendrent à terre et de ne pas attendre sur ce navire qui est tout de même horriblement ennuyant quand il n'est pas en mer, les matelots accceptent et se rendent donc avec Mr De Clichy et le nobliau sur les quais où les attend un très beau carrosse. A l'intérieur se trouvent Mme et Mlle de Clichy qui n'ont pas vue leur mari depuis des mois et qui vont le perdre pour deux mois encore dans deux ou trois jours.
Le trajet se passe sans encombre... tout du moins durant les deux premières heures. Une attaque de brigant survient alors que le carosse entre sur les terres du capitaine. 10 hommes habillés de noir et d'un foulard s'attaquent au carrosse et ses occupant, et semblant viser en priorité Mr de Clichy. Celui-ci tombe très vite, touché par 4 balles, avant que l'escorte ne parvienne à maitriser les malfrats qui tentaient de s'enfuir.