Warhammer: Tempête de Baffes sur la Liche Froide...

[shaman]

Je vois ami Nain que votre esprit a du être haltéré par ces vampires , je savais qu il n etait pas bon de vous laissez seul avec eux . Ensuite nos anciens compagnons de route qu on a retrouvé dans cette maison , n était plus du tout humain , mais bel et bien des créatures du Chaos . Autrement appellé des goules, et il ne sera que plus juste de les tuer pour sauver leur âmes .
Mais bon entre nous nain , il y a de grosses différences , vous n avez jamais appris a lire des ouvrages qui retracent l arrivé du Chaos sur le Continent. car j ai appris a reconnaitre des créatures , a trouver leu rpoint faible , ainsi qu a parler leur langage pour mieux se dissimuler parmis eux pour ne pas eveiller de soupçons. et bien d autres choses ...
Vous dites vouloir monter votre syndic a Talabeim , mais vous ne voyez pas plus loin que votre Hache, si nous n arrivons pas à tuer cet elfe noir qui a pris nos âmes et celles d autres elfes je crains que le Chaos aient cette fois gagné.
Car votre syndic vous pourrez le créer dans un amat de cendres. Ou bien plutôt dans votre paradis nain !
Donc ami nain , si vous voulez vraiment créer un vrai syndic , il v a flloir terrasser cet elfe noir avant qu ils ne joignent ses forces démoniques avec l avancé du Chaos qui ont déja pris plusieurs villes.
Une fois ces maudits elfes noirs morts , je vous assure que je vous accompagnerais a Talabeim pour parler en personne a la Comtesse et au Haut de cette cité pour permettre de monter votre syndic.
Je vous rappelle que juste aavnt de quitter Talabeim, vous m avez demandé certaines choses au pres de la Comtesse et jai tenu parole. Maintenant nain c est a vous de tenir la votre sinon pourkoi etes vous venu jusqu ici ?

[yoman]

Grolf s'arrête une seconde pensif:

"Pourquoi? Que diable suis je venu faire sur cette chariotte infernale?

Je ne sais pas...
Je ne sais plus...

Je devais croire quelque peu en vous, croire que bien caché sous vos méches rebelles et en dépit des guerres qui nous séparent, il y avait un centime d'amitié pour moi et de dignité.

Nierez vous que quand nous découvrimes que vos homme étaient des goules vous auriez pu agir sans tout ce dégazage ignominieux de sang? Il n'y avait même pas de quoi déposer dans une boîte à allumette. Moi je vais vous dire la vérité, vous n'avez pensé qu'à faire un nouvel effet! Damné magicien! Niera t'elle aussi cette Ethuviel qu'elle prononca des mots tueurs sur leurs dépouilles en plus et qu'elle porta comme à grand joie le premier coup? Le premier coup... le premier sang...


Je trouve cela monstrueux, si il s'agissait en plus d'anciens fréres d'arme même corrompus. Vous savez je suis peut être baveux, mais même dans l'aréne nous saluions toujours un adversaire mort...

J'ai trouvé que dans leur logique ignoble, les vampires avaient au moins un certain sens de l'honneur et du respect... ils ont sollicité notre accord sachant que nous étions en leur entier pouvoir.

La chasse aux elfes noirs, mais enfin Morween, Ethuviel a bien dit les choses en ce que je ne sers que d'amuse gueule tandis que vous, vous montez à la gloire.

Je continue de penser que je ne sers à rien auprés de vous, voilà le tout.
C'est ma seule vie que je peux offrir comme quand je suis resté otage sans vraiment espérer que vous reviendriiez. C'est trop peu...

Et que pourriez vous dire de plus en somme? En oeuvrant pour le syndic, je ferais là vraiment chose utile pour une fois..."

[SquigSan]

"Grolf...Mon compagnon, mon frère d'arme...."
Schnorschell, les larmes au bord de ses yeux, retient un instant sa respiration et entame d'un ton de révolte masquant une profonde tristesse, un plaidoyé pour l'unité...qu'il sait désuet face à la rancune et à l'opiniâtreté de son ami.

"Je n'ai aucune illusion sur le pouvoir des art nains mais je sais une chose:
Notre peuple à toujours vaincu par la solidarité de ses phalanges!
Les guerres gobelines de nos ancêtres ne t'ont elles rien apprises?

Autrefois, nous étions amis avec les Elfes et avec eux, nous avons vaincu le chaos.
C'est grâce à la manipulation du chaos ( Malékith et les Elfes noirs) que les Elfes et les Nains sont entrés en guerre!
A l'issue les pertes dans les deux camps ont été colossales.
Affaiblis en nombre, les elfes n'ont pu contenir l'expansion des Elfes de la nuit!
Amoindris, les nains n'ont pu faire face aux attaques combinées des gobelins, des orques et de ces maudits skavens!
Regarde où en est notre peuple! regarde! nous ne somme que l'ombre de ces nains qui ont bâtis Karaz Ankor ( l'Empire nain aujourd'hui amoindri)!
A la suite de cette guerre , notre empire était en ruines, sa puissance brisée à jamais, ses trésors dispersés entre les envahisseurs. Les orques et les gobelins infestaient les salles où les bardes relataient nos glorieuses sagas. Les trolls profanaient les tombes de nos rois pour trouver des os à ronger. Les skavens putrides répandaient leurs miasmes dans les galeries. Et malgré cela,nous tenions nos dernières places fortes, aiguisant nos haches avec amertume mais détermination.

Rappelles toi, au chateau... n'as tu pas eu l'impression d'avoir fait changer l'histoire en notre faveur? Même de manière minime?"

Schnorschell montre Morween du doigt:
"Tu as des comptes à régler avec Morween?
Qu'a cela ne tienne! je me chargerai d'inscrire ta doléance sur le Grand Livre des Rancunes de Karaz-a-Karak!"

Son doigt pointe alors vers Ethuviel:
"Tu ne comprends pas le besoins sanglant d'Ethuviel?
Qu'il en soit ainsi!
Laisse la donc dans son infortune car elle est bien plus proche des Elfes d'obscure engeance qu'elle ne veut le croire!
Peut etre comprendra-t'elle un jour?"

Le calme revient dans la barbe du maître des runes...

"Si tu pars pour rejoindre les factions syndicalistes, fais le!

Mais C'est au nom de nos ancêtres que je te demanderai ceci:
La guilde des nains de Talabheim doit réouvrir la route souterraine et la purger des monstruosités skavenoïdes et gobelinoïdes qui voudraient s'y installer!"

D'un ton énigmatique, Schnorschell, la main sur l'épaule de Grolf, lui dit ceci:
"Ton oreille tu tendras quand soufflera le vent du Sud...Et si le Cor grondant tu entends, dis-toi que c'est ton frère d'armes qui t'attend...
Pour le rejoindre, tu ne seras pas seul..."
Schnorschell tend alors "Toth", sa hache runique, et la remet entre les mains de Grolf.
"Ranges donc ta faucheuse, on croirait un répurgateur..."

Le triste maître des runes se retourne alors et reprend les rênes de l'attelage comme si de rien n'était...

[shaman]

Bien sur , je comprends , ces Vampires aivaient peut être un sens de l honneur mais c est parce que il s agissait certainement d un être appart , je parle de leur chef ce n etait pas 1 simple vampire assoiffé de sang .
Mais sachez qu une chose les vampires sont des êtres diabolique , qui se servent des êtres huamains com de la nourriture et pour rien d autres. Il s agit peut etre d une malédiction qui faudrait essayer de trouver de vieux ouvrages qui en relatent.
Mais bon ils ont le livre et je suis certain que ce livre devait être tres puissant , et pourtant je l ai ramené sachant que beaucoup de sorcier auraient préférer laisser mourrir 2 nains que de laisser cet ouvrage au mains du mal .
Mais sache que ma facon a moi de me défendre est la même que la tienne, sauf que je ne découpe pas des têtes, voir couper des êtres en deux; sachant que votre corps apres un combat est complètement recouvert du sang de vos victimes.

Quant a Ethuviel , je ne sais guère ce qu elle a dit mais se sont ses propos pas les miens !
Mais imagine ami nain que ferais tu si ton âme et celle de dizaine d autre était en possession d un être maléfique ?
Moi sache que si ton âme ,ou que ta vie devait être menacé je te suivrais pour empêcher cela.
Alors resaisi toi et comprends que le Chaos ne doit pas gagner , si toutes ces aventures s offrent a nous, c est qu il y a un rapport et que nous devons resté souder car le Chaos lui l est ..........

[Psychopat]

" Sachez Grolf, qu'avec le Chaos, nul discussion n'est envisageable ou alors qu'avec une extrème précaution et une urgente nécéssité. Je ne vois pas plus loin que le bout de mon épée ? Quand ce sont des créatures du chaos qui se tiennent au bout oui certes... Mais n'ai-je pas aider les habitants de Talabheim ? si, N'ai-je parcouru tout ses miles pendant 3 ans en pensant qu'à mon profit ? non, je pensait que les nains avaient la mémoire plus tenace.
Je vous preterai mon bras volontier pour que vous puissiez mettre sur pied ce à quoi vous aspirez mais des choses à faire sont plus urgentes ! Le chaos menace et l'on doit faire quelque chose.
Pour ce qui est des 2 goules, ce n'était pour moi que 2 anciens mercenaires à notre solde (HRP: Connu tout juste une scéance je crois bien) qui étaient chargés de surveiller le chateau contre bonne rénumération. Ils ont échoués, ils servaient le Chaos et étaient déja morts avant que l'on passe à l'attaque. Mes mots ne pouvaient traduire que la fureur de la déception du moment. J'ai peut être donné le premier coup, mais vous avez donné le dernier amis nains.

Plus solennelement, Ethuviel tend sa main pour inviter le nain à revenir sur la cariole:

Si je dois combattre le Chaos, ce sera un plaisir de le faire avec vous. Si je dois perir sous ces coups, ce sera un honneur de me retrouver à vos côtés.

[yoman]

Une immobilité semblable à la mort fige Grolf qui est en grande colére, devant ce qu'il estime être de la mauvaise foi caractérisée de la part des oreilles effilées, à peine adoucie du respect que lui manifesta Snorcheel.
Une bise mordante souffle comme à dessein, tandis qu'Il fixe avec un mépris qui peine à se résorber Ethuviel puis Morween:

"Vous n'y entendez rien, vous oubliez le jour d'aprés les sacrifices de la veille, herrants fou dans de chimériques contructions de porcelaine torve, bientôt il faudrait que le monde roule à votre rythme boiteux..."

Il martéle le sol de Toth une fois, deux fois, trois fois en en faisant exploser les grosses pierres en des claquements secs.

"Vous espérez m'endormir de discours mielleux, mais moi je vais vous dire que l'on ne trouble pas ainsi ma claire vision!
Je vous suivrais donc..., A PIEDS, loin de tout contact jusqu'à la prochaine ville.


"J'irais là prier pour mes actes sournois et offrir juste offrande au dieu du site, car moi je sais payer rançon pour mes actes félons. Je verrais alors si vous MORWEEN , vous serez capable de faire pénitence pour trois vies: deux des miennes puis celle de votre homme auxquel vous fîtes si honteux sort en profanant sa dépouille!

Quand à ETHUVIEL, par delà ses mots et ses raisons qu'elle trouve à foison au grés des vaguelettes obscures d'une perception propre bien commode, j'attendrais aussi de la voir faire montre d'une décence surprenante en hommage au trépassé qu'elle injuria... mais aussi du pacte déshonorant auxquel elle souscrivit EN NOTRE NOM avec les êtres de l'ombre!"

Pour faire cela, nous verrons bien si vous, les elfes, connaissez encore quelques rites honorables aprés tous ces ans passés loin des votres!"

Ses doigts craquent sur la garde du marteau tant est grande la force qu'il y applique à la mesure de sa colére qui suinte de tout son être:

"Ensuite, peut être que nous nous reverrons, et si nous devons reprendre une route ensemble vous souscrirez à une antique cérémonie que je ne fis qu'une fois avec un de mes fréres d'arénes... assurant par le plus fort des serments que nous trépasserions ensemble plutôt que de lever l'arme l'un sur l'autre!"

"Le sang et le sable!"

"Là je pourrais peut être de nouveau mener route avec vous!"

"Vous prétendez que votre quête est juste! Je crois maintenant que c'est la maniére dont on méne les choses qui leur donne un sens! Seul les actes parlent..."

[shaman]

Maintenant Nain il suffit , entendre toutes vos réflexions commence a me porté sur le systeme !!!!
Voyez ce que je vous ais dis juste avant , avez l oreille qui fatigue ?
Dites moi exactement ce qui ne va pas a la place de tourner autour du pot !!!
Mais Sachez qu ensuite cette conversation, il n y aura pas de marche arrière pour ma part .
Soit je comprendrais ce que vous avez à me dire et on se comprendra en arrengeant les choses, ou alors effectivement notre route se séparera ici .
Morween allume un feu de camp d un claquement de doigt et s installe autour du feu en attendant que ces compagnons y prennent place, pour que cette fameuse conversation commence .

[Psychopat]

"Vous commencez à m'agacer maître nain !, il n'y a eu point de pacte avec les forces de l'ombre à Talabheim et j'ai risqué ma vie dans cet entreprise pour trouver une diversion conséquente. Rien n'est déshonorant que si la fin est la victoire ! L'utilisation des rancunes de clans ennemis pour qu'ils s'étripent est une ruse militaire et politique, vous l'apprendrez...

Il vous faudra arreter de nous injurier gratuitement aussi..."

Ethuviel decend de la cariole.

" Vous n'êtes pas plus honorable que nous en portant les derniers coups sur un adversaire largement plus faible et en infériorité numérique.

Nous avons croisé le fer ensemble dans les ruelles de Talabheim contre des forces qui étaient en notre défaveur, c'est un témoignage vivant du respect que je vous porte. Nul besoin de pacte pour me lier à quelqu'un ! Si je dois aller dans un lieu de culte ce ne sera pas sur votre commande ni pour la mémoire d'un être du Chaos tombé au combat."

Elle s'assoie près du feu.

" Si vous ne pouvez supporter notre compagnie, c'est qu'il y a un problème que nous devons nous entretenir... Dites simplement ce qui vous tracasse et ensemble nous pourrions peut être trouver une solution. Si aucun arrangement n'est trouvé, vous pourrez aller comme bon vous semble. Pour ma part, je suivrai ma route, celle que je trouve juste et urgente. "

[yoman]

Grolf dont les yeux fusent encore tel des bradons ardents se retient de rire de rage tant ces discours bien minutés l'horripilent lors qu'il parle d'honneur. Il ne s'assit pas avec eux mais se tient encore fatale statut du commandeur dans l'ombre de la nuit qui peine à laisser place au jour.

"Ce n'est pas vous qui me congédierez, M-O-R-W-E-E-N, ce sera toujours moi qui en ferait à ma guise. Il n'y a rien à négocier ni tant à palabrer si vous n'étes pas capable de faire retour honnêtement sur les choses."

Sa voix baisse légérement tandis qu'il compte bien faire ses comptes avec ces elfes qu'en son for intérieur il maudit mais chérit aussi, mille fois:

"Mais bah, je vous dois bien de derniéres explications.

Morween, d'abord vous m'avez frappé à Talabheim mais aussi une autre fois, même si d'une maniére on ne peut plus onirique lors que je protégeais des innocents. Pour cette premiére fois le temps à filé, et je suppose que dans votre mémoire courte d'Elfe il doit être difficile de réevoquer correctement les choses mais quand à Talabheim? Je suppose que vous trouverez sans doute une explication à ce dernier fait que vous ne distinguiiez aucune autre solution pour me sauver des crocs de grands rats, je suppute? N'empêche, n'empêche que depuis ce jour, j'ai encore la chair qui me brûle, que je suis la risée des autres puis parfois de vous tous, et que je vous avoue que j'en ai encore des cauchemards sanglants dans la nuit sourde! Vous auriez put au moins vous en expliquer, puis vous en excuser car je ne suis pas simple goule sur laquelle vous pouvez cracher ce me semble, mais bien cette personne qui offrit sa vie pour que vous puissiez fuir les Sylvaniens...

Vous parlez de l'intercession que vous fites auprés de la duchesse comme d'une grâce personnelle à mon encontre, mais là et je parle pour tous vous n'y étes point. C'est là que je dis que vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre mesquin intêrét personnel, et je m'étonne que certains puissent encore s'en aller visiblement bien fier d'eux si ils ne sont même pas capable de faire pause cinq secondes pour prendre la banniére des faibles et des innocents... il y aurait encore à dire. Alors Morween si vous m'aidez pour vous acheter mes services sans rien reconnaître de la justesse de cette cause, vous pouvez bien vous et les autres aller au diable, car de coeurs si asséchés, je ne voudrais recevoir la plus petite des piécettes."

Là, il fait pause la mine dégoutée!

"Ethuviel il y a plusieurs chose et vous ne pouvez pas sans cesse les tourner sans daigner les considérer à la lumiére crue de la vérité. D'abord votre discour condescendant du style: j'ai fait ceci, cela puis vous franchement vous ne faites que merdaille fréle nain devant moi la grande guerriére. D'abord il y aurait beaucoup à dire sur la véracité d'une telle allégation mais personnellement je m'en fiche car comme dirait Sigmar ils sont plus occupés à gauger de la taille respective de leur dards qu'à apprécier simplement la douce langueur du temps qui file... je me comprend et je pensais que pour Elfe distingué cela allait de soi.

Ensuite il y a cet espéce d'extrémisme qui vous fait, excusez du terme, roter aprés le chaos, vos adversaires même honorable, puis jusqu'à vos fréres d'armes sauf ceux que vous estimez plus fort que vous ou utiles à vos plans, alors que je sais que vous savez que les choses ne sont pas si simple et que vous pouvez voir large. Je n'exige nulle céremonie de vous, je parlais de prendre la mesure des engagements de chacun si nous prétendons faire oeuvre sainte. D'ailleurs quand à tomber l'un à côté de l'autre, à part des railleries quand je revins carbonisé et des injures quand je vous demandais quelques explications, quand vous reveniez de votre excursion sur les remparts, je pense qu'il est faux de dire que nous avons combattus l'un au côté de l'autre. Vous avez bien dit: nous nous trouvions l'un à côté de l'autre. Je vous reprendrais sur vos propres termes, quand alors que je pétitionnais bien maladroitement la noblesse pour les pauvres, vous parliez encore de vous retrouver à côté des gens en une même lutte mais qui ne vous liait aucunement à eux (il y avait même comme un sectarisme sous jacent odieux en certains endroits de votres discour, ainsi tout pourrait tomber pourvue que restent sauf les elfes!). Vous pourrez toujours faire étalage de beaux sentiments aprés coup, mais à ce moment il était patent que vous n'en aviez que foutre... C'est ainsi que vous parlez et que vous vous conduisez en toutes occurences comme, par exemple, quand vous allez vous et Morween en catimini faire provisions d'armes en votre chateau infesté, quand vous vous échangez en cachette des anneaux de guérison, quand vous ne daigniez qu'à grand peine reconnaître la justesse d'une remarque sur le partage de ce pourquoi nous risquons au final tous notre vie. Quand je mesure cela, je suis, excusez de la faiblesse du terme, bien mal à l'aise. Je me demande à côté de qui je peux bien me retrouver, sont-ce de barbares bandits, sommes nous une bande de bandits, pour lesquels comme vous dites la fin justifie les moyens?

Et quelle fin car sachez que si je veux parler franc, et vous dire les choses crument il faut bien que je me fie à votre parole... vous n'en dites rien de précis, en de continuelles cachoteries tout juste dignes de nains en âge de n'avoir barbe, alors que vous êtes pour le moins centenaire. Vous direz que je radote, que je donne quelque peu cour de morale, mais moi je crois que vous finirez cette route pour ne pas réaliser qu'il restera toujours un monstre, en vous même profondément tapis. Et vous savez, faire une juste guerre et dans l'honneur c'est se prémunir de lui. Tous les vieux maîtres d'arme connaissaient cette leçon! J'entends les Vrais, pas les espéces de soudards sans âme qui hantent si souvent le palais des princes!"

Il marque encore pause pour ajouter grognon puis finalement dans un souffle amer:

"Et quand au Ninj'hobbit, s'il est là il pourrait aussi dresser un peu l'oreille, cela pourrait le concerner! Mais au moins lui il pourrait dire que je lui ai porté préjudice aussi, et je vais m'en excuser de nouveau sitôt..."

Il met pieds à terre devant le hobbit, s'agenouille, puis dépose à ses pieds son heaume guerrier gagné dans l'antre d'un troll aprés un grand combat, pour se reprendre calmé mais toujours déterminé:

"Finalement, nous pourrions parler jusqu'à ce que les menaces que vous présumez s'incarnent de fait! J'aurais beaucoup de choses à dire, et sur lesquelles revenir, comme quand vous m'avez abandonné à Nuln MORWEEN, moi et S'crocos nous laissant nos yeux pour pleurer misére sans le moindre liard et à demi fou! Je n'ai jamais rien reçut en contrepartie de vous que cent piastres, d'un geste là encore condescendant d'un seigneur à son gueux, et malheureusement je ne pus décement refuser vu ma grande géne! Vous prétendez nous emmener à votre suite, mais le sort de ces deux pauvres guerriers que vous calcinâtes est bien typique, vous oubliez vite, trés vite, et ne prétez ce me semble attention qu'à ce qui peut encore vous servir comme Ethuviel. Est-ce bien ainsi que sont les derniers représentants d'un grand peuple dont l'industrie nous fit parfois rougir d'envie..."

"Je vais donc résumer ma plaidoirie, vous ne me respectez pas, vous ne respectez pas le monde qui vous entoure et moi je n'en peux plus... attendons d'ailleurs ce que finira par en dire l'univers. Voici ce que j'estime et le temps passant, je n'accepte plus cet état de fait car j'ai bien vieillit et souffert depuis!"

"Que direz vous? Continuerez vous à nier tout cela? Si c'est le cas, je crois que nous n'avons plus grand chose à faire ensemble, et si ce que vous voulez faire en vaut vraiment la peine je vous souhaiterez bonne chance mais ce sera sans moi!

Je m'en vais méditer de mon côté à jeun, si vous avez à encore à me dire vous me trouverez au temple de Shayllia dans la premiére ville que vous croiserez! Sinon, et malgrés tout bon vent, et le meilleur puis j'espérerais que vous comprendrez un jour, et que je pourrais alors vous serrer sans rechigner la main. Pour finir, je ne suis pas moi non plus sans tâche, mais aprés tout si je dois continuer à offrir gracieusement mon existence pour vous, je voudrais au moins que vous soyiez capable de traiter justement avec moi et de préter un tant soit peu l'oreille aux souffrances qui s'élevent autour de vous.

Quoi qu'il advienne, je n'oublierais pas la saveur d'une route qui fut commune, et comment nous partageâmes un temps le pain puis le vin... et même l'Hydromel."

Et c'est dans un dernier sourire, que Grolf qui a rarement tant parlé et en est peu habitué, laisse échapper un unique sanglot sous les coups des souvenirs meurtris qu'il vient d'évoquer. Il se détourne alors et cette fois, et il se promet bien de ne plus jamais regarder en arriére...

Il ira d'abord au Sud, et le presque jour que nulle sorcellerie n'oserait dissiper, finit par l'oter à leurs vues.

[SquigSan]

Schnorschell, des trémolos dans la voix entame, pour accompagner son compagnon Grolf dans la nuit,un chant en Kahzalide dont la traduction pourrait donner ceci:

Bière
Tu es ma mère
Celle qui me câline
Lorsque je déprime.
Tu me gardes sous ton aile
Tu me gardes de la vie réelle
Tout le monde est heureux
Tout le monde se sent mieux

Bière
Mère nourricière
Aimée de tous les nains
Leur seul breuvage divin
Pour nous Firun a crée l’orge
Pour boire en sortant de la forge
Ce précieux nectar de fête
Qui des ennemis savoure la défaite

Bière
Tu m’éclaires
Tu es ma lanterne
Dans mes soirées ternes
Tout comme mes soirées
Où je veux me marrer
Toute sorte d’occasion est bonne
Pour que tu finisses dans ma bonbonne

Bière
Tu n’es pas austère
Tu es dans chaque fête
Tu fais tourner les têtes
Se vider les entrailles
Celles que tu fiches en pagaille
Amie des Dames pipi
Grâce à qui la richesse sourit

Bière
Tu es ma Terre
Lorsque je suis à la dérive
Loin si loin des rives
Tu es mon seul phare
Apparu de nulle part
Celui qui m’amène au port
Celui qui me sauve des dangers du dehors

Bière
Tu es comme la mer
En toi je veux patauger
En toi je veux plonger
En toi je veux me baigner
En toi je veux me noyer
Et pour l’éternité
En toi je veux me reposer

Bière
Point tu ne m’indiffères
Ton éternel esclave je suis
Comme tout nain je ne vis
Que pour te boire
Encore une ce soir
Blonde ou brune
Servez m’en encore une.

(Krishpa - http://www.arcanes.org )


Et comme chaque évènement est une occasion, Schnorschell ouvre un tonnelet de bière de Bugman...
"Allez! Je le fini complètement...on verra bien où la chariotte s'arrêtera..."

[shaman]

Alors Grolf je n aurais que 2 ou 3 choses a vous dire :
-Maintenant vous vous plaigniez que par nécéssité j ai brulé ds 1 zone des créatures et que malheureusement je vous ai touché certes c est vrai , mais ce n est pas vous qui vous vous ventez d avoir d un médaillon ou un anneau qui vous protegez contre le feu et qui m avait tant nargué ?
Je vois que pour dire aux autres les erreurs qu ils ont faites vous é facile
Mais vous dites aussi que vous m avez sauvé la vie quelques fois , la encore je crois que vous oubliez que je vous l ai sauvé aussi. Car quand on a rencontré des créatures aussi puissantes q un démon et alors qu on était envahi par le chaos et que par leur nombre ils nous auraient vite anéanti , vous ne dites pas que grace a moi on a pu survivre.
Et j en oubli tant d autres ......
Et surtout les soins que je vous ai administré vous ont savué la vie de nombreuses fois, et surtout grace a mon anneau qui permet non seulement de soigné mais d empeché a ce qu il y ait des cicatrises et qui régenerent les organes qui ont pu être touché, ce qui permet nettement une vie plus longue que pas mal de combattant de l empire.
Apres vous dites qu avec Ethuviel on est allé dans ma grotte secrete et que je lui ai donné mon anneau pour la soignée, parlez en connaissance de cause et pas par des films que vous vous faites dans votre tête !!!!
Car si il y en a bien 1 qui m a fait comprendre que je devais partager cet objet , c est bien vous .
Est ce que moi je vous demande de me passer vos objets pour mieux resister a la magie ?
Et bien non , alors maintenant je pense que vous avez trouvé votre chemin , alors emprunté le et faites ce que vous avez a faire, car il suffit d entendre vos saccarsmes.
Et puis je vois que votre ami nain lui n est pas tout à fait comme vous , alors vous devriez peut être vous posez des questions , qui j espere vous permettront de reprendre la raison .
Ensuite ce que je peux devinez dans vos yeux , et ce que vous avez besoin d entendre sont celle ci :
- Vous voulez qu on vous prouvre qu on est uni , que la solidarité entre nous est lié .
Je crois que tout les autres choses que vous avez parlé n etait que pour dire : que la confiance entre nous n est pas sûre .
Ce sont toutes ces choses qui vous gêne réellement .
Et sa mon ami , on se l ai deja prouvé durant nos parcours ds l empire , mais vous devez avoir besoin qu on vous le prouve plus souvent ou peut etre d une autre maniere !
Alors choisissez soit on en parle autour du feu calmement et sincerement , ou alors on vous regarde partir vers le Sud .

[yoman]

Le silence de la forêt seul répondra... Grolf est déjà loin, et il ne restera que son traître de chat pelé qui se pourléche les babines en prévision du festin qui se prépare.

[shaman]

Qu il en soit ainsi , je comprends maintenant pourquoi une haine grandissait a l'époque entre nain et elfe.

[Psychopat]

(HRP): Je n'ai pas utilisé l'anneau car je n'ai pas eu une besoin urgente de points de vie... Schnorchell peut être.
(HRP 2): Quand j'ai dit "pourvu qu'il ne reste que les elfes", c'etait hors role play, je me souviens de l'avoir dit.

" Ce nain est d'une mauvaise foi évidente, Si j'ai vanté mes mérites à Talabheim ce n'était que pour répondre à ses provocations incessantes. Je ne l'ai point traitée de merdaille, j'ai même, en présence de notre hobbit préféré, vanté les mérites de nos 2 compagnons nains. Mais s'il veut que je prouve la véracité de mes dires je suis son homme.
Pour ce qui est de pétitionner auprès des pauvres, j'avais d'autres chats à fouetter. Contacter les personnes les plus influentes pour rallier les partisans de la libération au coeur même d'un quartier grouillant de skavens, c'était une autre paire de manche... Quand au mérite de la liberté de cette cité, elle doit aller au groupe entier et puis à ses habitants et à l'Empire... Je n'ai jamais dit que c'était grâce à ma propre personne, chacun a eu des taches importantes à accomplir, Grolf pétitionnait auprès des pauvres pour leur cause alors que la guerre les saignait à blancs... J'ai bien croisé le fer avec Grolf dans les ruelles de la cité assiegée mais il doit surement avoir la mémoire qui vascille ou bien son champ de vision doit très étroit.
Je n'ai prêté aucun engagement sur la protection de la veuve et de l'orphelin, que ce soit bien clair. Le chaos mérite pas mal d'attention et je ne pourrais combattre toutes les maladies du monde.
Si Grolf veut partir, que les dieux le bénissent et que quiconque le croisant, ne le pourfende pas en écoutant ses paroles.
J'irai peut être à un temple dans la prochaine ville mais ce ne sera surement pas pour parler à un nain. Qu'il fasse sa croisade solitaire,
j'espère qu'il en reviendra plein de raison. "


(Hrp 3) Etant donné que tu est parti sans nous laisser répondre, tu n'as pas écouté cela...

[yoman]

Le chat qui gloutonnait tandis qu'on discutaillait, fourre un fin museau dans un certain paquetage Elfique. Il croyait y trouver bonne chére, mais "Meeeeeeeeeeeaaaaaaaaaaaaaaoooooooooooooooooouuuuuuuuuuuvvv", il en sort un museau dédaigneux et il s'en file rattraper son maître se disant que finalement rien ne vaut la bombance naine...

[HRP]@ Pat: c'est bien confus tout ça, et tu as bien de la chance que tes textes aient disparus en Juillet dernier et que l'on ait jamais fait de résumé, (encore que tu pourrais les altérer sans trace, tu dois bien avoir tes bidouilles)... Aprés c'est facheuse tendance de se justifier par des encarts HRP comme si cela avait plus de valeur, surtout que tu sais trés bien t'exprimer RP, et t'y noyer complet.



Je ne suis plus là, tu pourra toujours t'en prendre au chat fuyant, digne adversaire chaotique...

Aprés c'est pas bien grave, disons que mon perso ne s'y retrouve plus avec vos quêtes magiques à la cambrousse, et que dans la continuité de sa carriére, il ne voit pas trop ce qu'il irait foutre lui à Karak sous une banniére Elfe. C'est un perso urbains, et les chasses au trésor ou au monstre, dont il ne connait les tenant,s ce n'est pas son truc et puis surtout il n'est pas équipé pour et de là à finir cinquiéme roue du carosse...

C'est tout. Et puis bon, de temps en temps on peut bien jouer des caractéres en opposition, sinon ça ronronnerait trop. Je ne suis pas là durant les vacances de noël, c'est l'occasion pour vous de continuer tranquille quoi, en brassant du Yop! Sur la suite, on verra bien si on se retrouve, ou pas. Peu d'espoir de mon point de vu, étant donné que je crois difficile de concilier certains tempéraments de l'elfe au nain, puis les personnages grandissants je trouve normal qu'ils se posent deux ou trois petites questions en dehors des plans Guyxiques, ou alors cela ne signifierait plus rien.

[shaman]

Sache qu une route est toujours pleine de surprise, bonne ou mauvaise !

Et surtout les plans guixlique sont nombreux ........

[Psychopat]

Les routes et les humeurs des persos changent... Mon perso se prépare à un certain background (qui a dit carrière ? ) et mon roleplay s'en ressent...

[Bob Fortune]

Le chaos semblerait bien plus puissant que vous ne le pensiez.
Vos éternelles disputes en sont les preuves.
Effectivement vos routes se séparent mais ou que vous soyez le chaos vous retrouvera…. !
A bientôt…

[SquigSan]

Dze goi gue jze vé arédtdé 'a jariote izi...
BLONG!
Les chevaux continuent à marcher au pas, puis s'immobilisent pour brouter un peu d'herbe sur le bord de la route...

La bière était bonne.. Demain, Schnorschell s'en souviendra...peut-être...

[yoman]

Grolf continue la marche glauque mais au bout d'un temps, il fouille son havresac pour en sortir un fin calumet en même temps qu'une outre de Rosolie:

"Bon bah! Dans la vie point trop n'en faut et ce serait bin misére que la vilenie d'Elfiautes avaricieuses obscurisse à jamais c'te petite matinée!"

"Ce que c'est que de trainer avec c'tes vilaine gens qui n'ont que jus de snot's dans les veines!
On en oublierait le ciel bleu et le vinho de par chez soit ou on a franche paume!"

Un petit miaulement derriére annonce qu'un félin gloutonnera encore dans son dos:

"Ah Comrade! La pénitence... bin j'commence demaing quoi!"

Sur ce commentaire philosophe, il ne remarque pas que de son sac tombe morceau par morceau quelque bonne faisande qui ne sera pas perdue pour tout le monde.

Et un petit chant ivrogne Breton en sa tête multiple, il zigzague d'un bon train sur la route:

"I've been a wild rover for many's the year
And I spent all me money on whiskey and beer
But now I'm returning with gold in great store
And I promise to play The Wild Rover no more.

And it's no nay never
No nay never no more
Will I play The Wild Rover
No never no more

I went to an Ale House I used to fequent
And I told the landlady me money was spent
I asked her for credit she answered me "nay
Such custom as your I can have any day"

And it's no nay never
No nay never no more
Will I play The Wild Rover
No never no more

I took from me pocket 10 Sovereigns Bright
And the landlady's eyes opened wide with delight
She said iI have wiskey and wines of the best
And the words that I spoke were only in Jest

And it's no nay never
No nay never no more
Will I play The Wild Rover
No never no more

I'll go home to my parents, confess what I've done
And I'll ask them to pardon the prodigal son
And when they've embrassed me as oft times before
I promise to play The Wild Rover no more

And it's no nay never
No nay never no more
Will I play The Wild Rover
No never no more

And it's no nay never
No nay never no more
Will I play The Wild Rover
No never no more " (*)

(*)

J'ai été un vagabond sauvage pendant longtemps
Et je dépensais tout mon argent en whisky et en bière
Mais maintenant je reviens avec beaucoup d'or
Et je (vous) promets de ne plus jouer au vagabond sauvage

Non jamais, plus jamais
Non plus jamais
Je ne jouerais au vagabond sauvage
Non jamais, plus jamais

Je suis allé à la taverne que j'avais l'habitude de fréquenter
Et j'ai dit à la patronne que mon argent était dépensé
Je lui ai demandé de me faire crédit, elle m'a répondu : " jamais !
Des clients comme vous je peux en avoir tous les jours"

Non jamais, plus jamais
Non plus jamais
Je ne jouerais au vagabond sauvage
Non jamais, plus jamais

J'ai pris de ma poche 10 souverains brillants
Et les yeux de la patronne se sont ouverts avec grand plaisir
Elle m'a dit "j'ai du whisky et des vins de qualité
Et les mots que j'ai dit n'étaient que des plaisanteries"

Non jamais, plus jamais
Non plus jamais
Je ne jouerais au vagabond sauvage
Non jamais, plus jamais

Je rentrerai chez mes parents pour confesser ce que j'ai fait
Et je leur demanderai de pardonner leur enfant prodigue
Et quand ils m'auront embrassé comme avant
Je ne jouerai plus au vagabond sauvage

Non jamais, plus jamais
Non plus jamais
Je ne jouerais au vagabond sauvage
Non jamais, plus jamais

Non jamais, plus jamais
Non plus jamais
Je ne jouerais au vagabond sauvage
Non jamais, plus jamais

[yoman]

La nuit est tombée sur Grolf et il fait froid. Il a grand mal à la tête des barriques qu’il a vidé.
Il a marché littéralement jusqu’à plus soif depuis ce qui lui semble être une éternité.
La pluie a sévie et il en est tout trempé, perdu dans la forêt depuis lors qu’il quitta la route pour éviter la charriote infernale !

Il se pose lors sur une vieille souche bien fatigué, et avant que ne tombe l’ombre il tend la main en son havresac pour en sortir les vestiges de repas des jours d’avant.

Il n’en ressort que des tranches ignobles de viandes moisies, et en les contemplant même lui en a un haut le cœur quand s’en échappe une nuée d’insecte.

Toujours la force de pester mais bon comme auparavant et les jours d’avant personne ne répond, et c'est l’impression lourde qu’il en a d’en perdre la boule.

« Saleté d’Elfe ! Fourbe ! Truand ! Escroc ! Vile ! Pas beau !... », Nous tairons la suite de cette harangue solitaire par décence.

Mais là Esthelbeth surgit des bois avec un bon perdreau et Grolf saute sur ses jambes afin de se précipiter pour réclamer sa part, mais c’est une illusion qui lui fait claquer le palais sur du vide. Il ramasse alors deux vieilles branches pour faire le feu, mais il n’y arrive pas soudain une flamme s’élance, celle de Morween. Il va pour ronchonner mais en fait nul Morween, ou flammèche, et cela regèle de plus belle sous une bise morne.

En désespoir de cause, il cherche son tabac mais il n’en a plus, alors qu’il lui semblait avoir vu que Snorcheel lui en déposait à nouveau dans son sac.

Toujours c’est le silence et la solitude, et il arrive insensiblement sous un gros noyau de lourde rancunes à regretter les absents en dépit de tout : « Ah ça jamais ! Par la Morsoufle ! »

Resortira t-il de la forêt? Ce n'est pas son territoire...

[SquigSan]

Le lendemain matin, schnorschell se reveille le cerveau comme un pâté en croute, un rot vaporeux en guise de bonjour à la faune alentour.
Aucun écho…
Il se lève lourdement et se dirige vers un bosquet pour se libérer de la pression exercée par les boissons énergétique aux extraits de houblons.
- Ah ! La vache ! Ça fait du bien ! Pas vrai, frangin?!
Aucune réponse. Juste le claquement d’un feu fraichement allumé.
Schnorchel réalise soudain que les seules personnes présentes sont ses amis elfes…
Un peu déconcerté, ne semblant pas croire ses propres paroles, il se retourne doucement vers Morween et Ethuviel qui le regardent d’un air dubitatif quant à sa sobriété.
Schnorchel s’assoit, doucement, l’air absent mais parfaitement sobre.
Pour la première fois depuis longtemps le petit déjeuner se déroulera dans un silence à peine perturbé par le feulement du vent dans les cimes.

Le repas fini, Schnorchel se dirige vers les chevaux, les détache et se met à les panser, le vague à l’âme.
Une fois les préparatifs terminés, il se dirige vers les elfes.
- Je suis prêt. Quittons ce triste endroit.

[SquigSan]

Le chemin sur lequel Morween, Ethuviel et Schnorchel semblait interminable. Personne ne parlait.
Et chacun se mit à penser, à rêvasser.
Schnorchel, tirant une profonde bouffée sur sa pipe, se fendit alors d'un petit rictus. Il se souvenait d'une discussion qu'il avait eue avec Grolf lors d'une soirée arrosée où ils avaient fumé plus que de raison (pour un humain, bien sûr).
Grolf soutenait qu'il ne pourrait jamais changer ses habitudes urbaines et Schnorchel l'exhortait à retrouver la nature intrinsèque des nains et de le suivre jusqu'au centre de l'empire nain pour y retrouver ses racines.

- Tu ne peux échapper à ce que tu es, Grolf!
Tu peux apprécier la compagnie des hommes des villes, compatir à leur malheur, mais ta place est avec tes frères d'arme. Tes talents doivent servir la cause naine! Notre peuple souffre et a besoin de gens comme toi!

Mais l'esprit de Grolf était déjà ailleurs.

Puis ils avaient parlé de l'avenir.
Grolf se voyait fonder son syndicat et écumer les villes pour le salut des petites gens.
Schnorchel avait des rêves d'aventure et un ardent désir de devenir un Seigneur des Runes dont une création porterait le nom.

Grolf s'était demandé ce qui avait poussé son ami à embrasser une carrière de Maître des runes; pourquoi il y mettait une telle ferveur, une telle dévotion et un tel secret.
Schnorchel, des trémolos dans une voix empreinte de mysticisme, se mit alors à discourir:

Les montagnes du Bord du Monde, le toit du monde
Tu vois Karak Azul, la ville de forgerons.
Là-bas, des Maîtres utilisent de larges enclumes.
A chaque frappe, elles émettent des sons qui font vibrer l’air alentour.
Ces vibrations sont graves.
Tout comme les paroles rituelles.
Elles te rappellent la voix de la Terre.
Un groupe de Forgerons des Runes travaille dans de vastes salles dans un état de transe.
Tu n’as jamais vu autan de marteaux frapper ensemble.
Un vrai carillon ! Dans les entrailles de la cité, ils forment un véritable orchestre ! Visiblement, ils maîtrisent parfaitement cette musique depuis longtemps.
Leurs esprits transcendés chantent en groupe au fin fond des strates.
Regarde-les ! Regarde leurs esprits !
Ils n’ont pas l’impression d’accomplir quoi que ce soit d’exceptionnel.
Pour eux, c’est la routine.
Etre forgeron, marteau et rune simultanément !

Mais cette voie est dangereuse.
Tu descends dans les vallées des montagnes sacrées ; des soldats orcs patrouillent sur les chemins et les emprisonnent, les torturent pour qu’ils délivrent leurs secrets.
Pourquoi font-ils ça, dis-moi ?
C’est de la haine pure ?
Pour moi, c’est de la jalousie !
Des gens aussi libres dans leur tête, aussi opiniâtres et professionnels, ça énerve les êtres primaires.
C’est mon avis de Runiste, tu n’es pas obligé de le partager.
Plus loin, des profanes essaient de comprendre l’esprit des maîtres. Ils leur demandent ce qui se passe pendant la transe.
Les Maîtres des Runes rient gentiment…ensuite, ils se défilent.
Comment en parler aux autres ? C’est comme si l’on te demandait ce que tu as ressenti durant un voyage merveilleux dans une contrée verdoyante.
Que pourrais-tu répondre ?
Que tu étais comme dans un sommeil éveillé ?
Que tu étais à la fois dedans et dehors ?
Que tu te laissais bercer par les mamelons des collines comme un enfant écoute une histoire avant de s’endormir puis qui se met à rêver de cette histoire ? Non, ce n’est pas vraiment ça.

Décidément, à par éclater de rire, je ne vois pas comment tu pourrais décrire cette sensation.
On ne peut pas expliquer le goût du salé à quelqu’un qui ne connaît que le sucré. Il faut le vivre pour le savoir.
Alors pour éviter d’avoir à expliquer, nous tenons nos puissants arcanes dans le secret.
Ainsi…
Une large ornière ébranla la chariote et tira Schnorchel de son rêve éveillé.
Les elfes regardaient Schnorchel avec circonspection ; il avait pensé à voix haute.

[yoman]

Une forme embroussaillée sort des bois précédée d'un gros matou roux assez malodorant. Grolf fait la culbute et s'installe comme si de rien n'était à côté de Snorcheel:

"Bin quoi! Que c'est que ça!? Tu croyais que j'allais laisser ma quote part de Chariotte à c'te duet de flamby aux reilles olives pire qu'orcaille en stuc!"

"Que nenni! Je m'en va en la prochaine ville porter c'te affaire au assises, d'un pov'nain spolié! Ca va douiller que je t'dis!"

"Allez passes donc la pipe!"

[shaman]

Et la le calvaire repris de plus belle , un nain c bien mais 2 ensemble c'est comme si un village d humains se retrouvaient pour faire la fête pendant 2 jours et 3 nuits !
Morween fit un geste de bienvenue à notre célèbre nain : connu par ses combats et son langage croisé avec celui d un ours des montagnes.
"Tu m as l air affamé et assoiffé Grolf "vient donc t asseoir pres du feu , Dame Ethuviel va te préparer un somptueux repas !
Quant tout a coup de petit lièvre et autres ...sortirent du feu pour attérir vers les bras de nos preux Aventuriers !!!
En attendant que notre chère elfe nous rapporte mieux , mangeons et buvons à la santée de nos retrouvailles !