Loup Solitaire le Jdr

[yoman]

:Le monde de Magnamund est une planète située dans l'univers d'Aon. Elle est le lieu d'affrontement des dieux de la lumière, Kaï (dieu du Soleil) et Ishir (déesse de la Lune), contre le dieu des ténèbres, Naar.

Ce monde est donc divisé en deux : les royaumes dirigés par des humains, et le royaume des Seigneurs des ténèbres dont la capitale est la cité d'Helgedad. Les Seigneurs des ténèbres sont des êtres humanoïdes qui cherchent à dominer le reste de Magnamund en commençant par les territoires du Nord, les Fins de terre (royaumes de Sommerlund et de Durenor). Ils lancent pour cela régulièrement des attaques avec leurs troupes de Drakkarim [un peuple humain, les Drakkarim (singulier Drakkar), qui leur est dévoué] chevauchant des Kraans (reptiles ailés), de Gloks (giaks, sortes de gobelins) chevauchant des Loups maudits (doomwolf), et de morts-vivants : Vordaks (dotés de pouvoirs psychiques) et Monstres d'Enfer (helghasts, changeurs de forme).

Pour combattre les Seigneurs des ténèbres, les nobles de Sommerlund envoient leurs enfants se former au monastère Kaï (Kai Monastery), le dieu du Soleil, où on leur enseigne l'art de la guerre et où ils développent des pouvoirs mentaux spéciaux, tels que la télékinésie, la communication avec les animaux et les attaques mentales. Les seigneurs Kaï (Kai Lords) ainsi formés constituent l'élite des guerriers du Sommerlund.

L'histoire commence 5000 ans après la création de la Pierre de Lune (PL, MS) par les Majdars (Shianti), un puissant objet magique dédié à Ishir, la déesse de la Lune.
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Bon au vue des deux premiéres parties, l'uivers de jeux est trés sombre et trés violent avec pour les joueurs trois morts et moult presque décédés, la ville de Toran ravagée (2éme partie) puis beaucoup de gens dévorés par un démon des temps anciens (1ére partie). Ca reste logique si on se rappele la série ou on recommençait souvent le même bouquin pour avoir simplement ouvert la mauvaise porte . De plus, le principe était la lutte souvent désespérée de simple mortels contre des puissances cosmiques immortelles vouées à leur perte suivie souvent d'improbables victoires chérement acquises (je ne compte plus les compagnons de loup solitaire qui meurent à ses côtés pour lui permettre d'avancer).

Les types de personnages, si un peu imposés, sont assez sympa et s'ils sont faibles au début ils progressent assez vite.

Bon en résumé, je vais continuer (vers septembre) si il y a bien sur quand même quelques joueurs intéressés et si on arrive à se glisser entre les grosses tables virulentes. Chaque séance sera close sur elle même en suivant tout de même une petite trame. A la fin de chaque scénar suivant l'idée des livres jeux, la montée sera d'un niveau du moins au début et pour les survivants (pas un vain mot cette fois). Les premiéres parties ont été orientées plutôt action, mais il y aura aussi d'autres choses avec un rythme comme pour fading d'une séance à peu prés par mois et ce sera surement plus ouvert (moins de difficulté avec les Backs et les possibilités d'interactions multiples).

[SquigSan]

Vous allez tous goûter au chapitre 13

[yoman]

Allez on sait jamais si il serra possible d'y retourner, suivant mon (dé)goût
de sang.

Voici les serments du Kaï:

Les Quatre Voeux

Lorsque le Seigneur Kaï débute sa formation, il lui est demandé de prononcer quatre voeux sacrés pour purifier son esprit, son corps et son âme. Ces serments sont indispensables pour l'Ordre Kaï, et seuls les élèves qui les prononcent et s'y tiennent sont autorisés à poursuivre leur formation. Tous les Seigneurs Kaï prennent ces voeux très au sérieux ; ceux qui brisent ces serments sont parmi les plus détestés des ennemis de l'Ordre et sont généralement pourchassés impitoyablement par leurs
pairs afin de servir d'exemple à tous ceux qui recherchent la sagesse Kaï pour un usage purement égoïste.

Les Quatre Voeux sont prononcés au cours d'une grande cérémonie en l'honneur des dieux du Bien, Kaï et Ishir. Devant l'assemblée des doyens du monastère, on demande au postulant de subir une épreuve symbolisant chacun de ces serments. Ces épreuves ne sont pas dangereuses, mais elles testent l'engagement de chaque postulant et le manque de sincérité est toujours vite décelé sauf dans les cas les plus retors.

Les Quatre Voeux et les épreuves généralement associées à eux sont :

Le Serment du Feu : «Le feu est le cadeau du soleil ; c'est une lumière qui brûle tout sauf l'esprit et qui laisse derrière elle seulement la Vérité. »

La rigueur de sa formation enseigne au Seigneur Kaï que la richesse matérielle est superflue et que le développement personnel est beaucoup plus important. Le Seigneur Kaï est autorisé à posséder uniquement ce que ses maîtres estiment essentiel pour défendre le Sommerlund avec succès. Si bien que les Seigneurs Kaï commencent le jeu avec seulement une dizaine de Pièces d'Or. Cependant, ils débutent automatiquement avec un sac à dos, des rations équivalant à quatre repas, une arme de leur choix, une amure légère de leur choix ou une armure matelassée et un bouclier léger, un silex et une amorce, une outre, une bourse de ceinture (pouvant contenir 50 Pièces d'Or) et une pierre à aiguiser. Les biens matériels autres que ceux que le monastère autorise sont à proscrire pour ne pas troubler la «vérité» de la force intérieure.

Le Serment de la Lumière : «Tous les choix mettent le Seigneur Kaï en conflit. avec le seul adversaire qu'il ne peut vaincre : lui-même. De bons choix permettent de survivre: de mauvais choix assurent une mort rapide.»

En tant que défenseurs de la loi et de la justice dans les terres du Sommerlund, les Seigneurs Kaï sont supposés se conformer à un plus grand idéal que le reste du peuple. Un Seigneur Kaï qui commet volontairement un acte mauvais et nuisible est déchu de ses dons Kaï, perdant tout accès à ses Disciplines, et ce jusqu'à ce qu'il puisse expier sa faute et restaurer son harmonie spirituelle. Les modalités de cette contrition sont laissées à l'appréciation du Meneur de Jeu mais une quête ou un grand sacrifice personnel constitueraient une pénitence appropriée.

Le Serment de Solaris : «Les Ténèbres ne peuvent être supportées, ni même tolérées. Lorsqu'elles obscurcissent la vue, elles doivent être bannies par la Lumière. »

Les Seigneurs Kaï sont prêts à combattre le mal partout où ils le trouvent. Ce serment permet de s'assurer que le postulant est prêt à donner sa vie si nécessaire pour déjouer les machinations des Maîtres des Ténèbres et de leurs sombres séides. C'est la prestation de ce Serment et du Serment de la Lumière qui accorde une autorité légale au Seigneur Kaï. Ce Serment est aussi celui qui est le plus souvent «bafoué» par les Seigneurs Kaï affectés à des missions d'infiltration, mais tous les disciples Kaï savent ce que cela signifie, et même si certains sont contraints de faire une entorse à son
application directe, tous s'efforcent d'observer ce serment à leur façon.

Le Serment de l'Esprit : «La pureté du corps est la pureté de l'âme. Tout comme la splendeur du soleil ne peut exister sans la beauté de la lune, l'un ne peut exister sans l'autre.»

Les Seigneurs Kaï adoptent un mode de vie monastique même lorsqu'ils quittent le monastère pour une mission: Les Seigneurs Kaï ne doivent pas manger plus que de raison, s'abstenir de tout plaisir ou divertissement excessif, et éviter tout comportement immoral. Encore une fois, les Seigneurs Kaï agissant sous couverture savent qu'il est difficile de respecter ce serment à la lettre parfois, mais une certaine modération est toujours observée.

Épreuves Typiques:

· L'épreuve du Feu est généralement symbolisée en demandant au postulant Kaï d'abandonner un petit objet ou souvenir de son enfance, précieux à ses yeux. Ce sacrifice est rarement d'une grande valeur monétaire, mais être capable de se séparer d'un trésor personnel prouve l'engagement au mode de vie spartiate que l'Ordre exige.
· Épreuve de la lumière : chacun des Doyens Kaï qui préside à cette épreuve (généralement trois, mais parfois jusqu'à sept) pose une énigme ,morale au postulant et le juge à l'aune des réponses données. Ces questions sont généralement soumises avec une limite de temps définie pour répondre, de sorte que ce soit l'instinct primaire du postulant qui s'exprime.
· Épreuve de Solaris : on donne au disciple potentiel l'un des rares trésors du monastère, une pierre de Soleil. Ces objets magiques mineurs diffusent une lueur directement proportionnelle à la «bonté» de l'âme de son porteur: Le postulant est placé dans l'ombre du mur le plus éloigné de la grande salle du monastère, et si la lumière est suffisante pour que les Doyens Kaï puissent voir le postulant, l'épreuve est réussie.
· Épreuve de l’esprit : cette épreuve n'en est pas vraiment Pendant les trois jours qui précèdent la date prévue de la prestation de ses Serments par le postulant, les doyens arrangent secrètement des situations susceptibles de mener à une conduite immorale. Ces situations sont généralement anodines. mais elles mesurent jusqu'où le postulant est capable d'aller pour satisfaire ses désirs, sans se comporter comme un vrai Seigneur Kaï. Le comportement du postulant, et son attitude pendant les tests, déterminent la réussite ou l'échec de l'épreuve.

[yoman]

On dit que certains jeux sont sanglants mais je conteste car notons les stats:
3 parties, 11 personnages, 3 survivants soit moins de 30% de chance de survie...

Pour ce qui vivent encore une petite bio:

Cheval ier du royaume de Sommerlund

Le Sommerlund, "La terre du soleil" se distingue notamment comme étant la seule contrée de tout Magmamund à avoir repoussé avec succès la furie des Royaumes ,des, Ténèbres et de ses chefs, corrompus. Le Sommerlund a récolté les fruits de cette victoire sous la formé gloire, d'honneur et de paix, lui permettant de faire prospérer ses terres et de devenir ce. pays fertile et vivant qu'il est actuellement. De nombreuses nations peuplent la surface de Magnamund mais aucune ne, resplendi autant que celle aux verdoyantes plaines et aux vallées fortifiées du Sommerlund. Un pays aussi puissant que le Sommerlund a de nombreux ennemis. Car les
ombres cherchent toujours à étouffer le soleil qui les fait naître. Les nombreux adversaires du Sommerlund auraient depuis longtemps accomplis ce que Vashna ne put faire, si ce pays n'avait pas pour gardiens de puissants seigneurs des groupes de preux chevaliers et de leurs bataillons d'infanteries parfaitement entraînés et équipés. Bien que l'armée du Sommerlund soit une force non négligeable, le vrai secret de la longévité du pays et dans la sécurité de ses frontières est l'Ordre des Chevaliers Triomphants. Cette fraternité de guerriers, composée de nobles de naissance et de roturiers choisis pour leurs actes de bravoures sur les champs de bataille, a donné naissance à quelques-uns des plus grands héros du pays. Ces guerriers, entraînés à manier l'épée, la lance et le bouclier au service de la couronne et de la pairie, sont appelés les Chevaliers du Royaume du Sommerlund. Etant déjà eux-mêmes de terribles combattants, ces chefs nés sont encore plus efficaces lorsqu'ils entrent sur le champ de bataille suivis de leurs légions d'infanterie.

Aventures : Tandis que la plupart des chevaliers de Sommerlund servent toute leur vie avec honneur leur terre natale sans jamais la quitter, il y a une tradition encore respectée, imposant que quelques chevaliers prennent la bannière de chevaliers errants et sillonnent Magnamund pour de lointaines missions. Certains chevaliers servent comme agents dans d'autres royaumes, portant les messages des suzerains du Sommerlund à leurs vassaux nobles de régions éloignées ou escortant des dignitaires dans de dangereux territoires. Bref, les possibilités d'aventures abondent pour les Chevaliers du Royaume du Sommerlund.

Profil : Ceux qui connaissent un véritable Chevalier du Royaume du Sommerlund disent que leur première vertu est l’honneur. La bravoure vient ensuite, rapidement suivie par la compassion qu'un pair de la patrie doit aux nécessiteux.
Un tel comportement est attendu de celui qui porte les armes et les couleurs d'un Seigneur de l'Ordre Triomphant.
Malheureusement, tous les Chevaliers du Royaume ne suivent pas ces règles. Les chevaliers félons, qui n'ont aucun honneur. comptent parmi les infâmes personnage les plus hais de Sommerlund et rien ne peut faire sombrer une assemblée de chevaliers dans la violence plus rapidement que l'insinuation qu'un de « ces chiens » respire encore.

Religion : La religion du Sommerlund est basée sur les saints jumeaux, Ishir et Kai, bien que de nombreux Chevaliers du Royaume rendent hommages à Salor, le seigneur des batailles., Les rites de Salor sont rapides et martiaux. Les épées servent ainsi de symboles religieux et un acte de bravoure en pleine guerre est son offrande préférée. De nombreux chevaliers du Sommerlund ont la marque de Salor qui est un écu avec une grande lame le transperçant en son centre gravé sur leur arme favorite ou tatoué sur leur bras d'armes.

Antécédents : La grande majorité des Chevaliers du Sommerlund grandissent dans l'entraînement, leur formation commençant avec leurs pères, chevaliers avant eux. Vers six ou sept ans, ces enfants de haute naissance voient leur potentiel évalué par des maîtres d'armes dans une des casernes et les candidats sortant du lot sont à cette occasion enrôlé dans l'école d'armes. Les autres la rejoindront plus tard au cours de leur enfance, douze ans étant l'âge le plus élevé pour le recrutement dans l'Ordre Triomphant. Quelques héros du royaume et roturiers prennent du service plus tard dans leur vie, typiquement après qu'un acte de bravoure leur permettent de demander l'adoubement ou que celuici leur soit donné par un baron reconnaissant ou par le roi lui-même. Ces roturiers et héros sont autorisés à fonder une lignée. Leurs enfants recevront les mêmes droits que les nobles de naissance et pourront un jour aspirer à rejoindre l'ordre eux-mêmes.

Autres classes : La plupart des Chevaliers sont parfaitement satisfais de voyager avec n'importe quel autre héros possédant les aptitudes pour mener à bien la mission qui les réunit. Si certains Chevaliers apprécient plus particulièrement la compagnie des hommes d'armes et préfèrent les Artilleurs nains et les Maîtres Kai aux lanceurs de sorts tel que les Frères de l'Etoile de Cristal ou les Magiciens du Dessi, au c u n n 'a de préjugé en, envers eux ni ne soutient de tels opinions. Les boucaniers Chadaki sont généralement mal perçus de part leur éthique et leur mode de vie qui sont opposés au code d’honneur des Chevaliers. Pourtant ces dernier peuvent accepter leur présence car la position officielle de la couronne sur de tels sujets est que quiconque désire apporter son aide au Sommerlund doit être toléré et la plupart des chevaliers du royaume adhérent à cette doctrine.

[yoman]

Artilleur nain de Bor

Les nains drodarims de Bor sont une race ingénieuse à l'histoire longue et mouvementée. dont l'affinité avec la métallurgie est une seconde nature. Au cours des âges, leur habileté manuelle à créer armes et armures s'est affinée au point qu'aucun peuple ,du Magnamund ne peut plus soutenir aujourd'hui la comparaison avec eux : seuls le pourraient les Anciens qui parcouraient le monde autrefois alors que l'humanité ne comptait guère plus de quelques tribus éparses. L'acier de Bor est l'une des marchandises les plus cotées sur le marché, en particulier grâce à sa valeur qui reste inchangée, quelle que soit la contrée parcourue par un marchand.
Bor est un royaume montagneux, ce qui a conduit ses habitants à construire une série de puissantes forteresses à ses frontières pour empêcher les incursions de créatures Maléfiques et autres voisins qui seraient tentés de venir s'emparer de leurs savoirs et de leurs richesses. Les nains de Bor sont un peuple vaillant à la robuste constitution dont la force provient des nombreuses années passées à la forge ou à parcourir les remparts sans fin de leur nation.
Hors de leurs frontières massives, c'est l'Artilleur Nain qui est le natif de Bor le plus couramment rencontré. Ces soldats expérimentés s'engagent volontiers comme mercenaires, quittant leur patrie durant parfois des décennies entières pour parfaire leurs compétences et développer des contacts dans le monde alentour. Cette tradition est aussi précieuse pour l'artilleur que pour son peuple, car le savoir et les contacts qu'il développe sont un atout quand il revient dans son pays pour servir dans l'armée régulière. Les compétences d'un Artilleur Nain de Bor étant ce qu'elles sont, de nombreuses troupes combattantes ou groupes d'aventuriers en expédition n'hésitent pas à s'en adjoindre les services, c'est pourquoi ils sont rarement sans emploi.

Aventures : De par leur tradition d'errance et de mercenariat, les Artilleurs Nains ont un goût prononcé pour l'aventure. expéditions diverses leur donnent l'occasion de s'entraîner au tir et d'améliorer, leurs compétences de mille façons, ce qui les intéresse à vrai dire davantage que le butin que de telles aventures sont censées rapporter. Cela dit, tous les nains de Bor étant par nature âpres au gain, une vie d'aventures est pour eux un. moyen incomparable de joindre l'utile à l'agréable.

Profil : On reconnaît facilement les artilleurs à trois caractéristiques, qu'ils partagent pour ainsi dire tous et dont il ne se départissent que rarement. Tout d'abord les nains drodarins sont solidement bâtis, mais de taille assez petite. Ils portent presque toujours une arme sur eux et pour les artilleurs,il s'agit d'une arme à feu. Enfin, le moindre recoin de leur être dégage une odeur, au mieux légère, qui rappelle la forge que ce soit le charbon ardent, les braises rouge et la cendre âcre, ce qui ne pose pas de problème à leurs congénères nain cela va sans dire.

Religion : Les nains de Bor adorent leurs propres dieux qui valorisent le foyer, la forge, la montagne et le ciel. On dit qu’il existait autrefois un dieu des rivières mais ses adorateurs ont disparu sans laisser de traces avouables par un nain de Bor. De toute façon, les nairs de Bor ne parlent pas de leur religion avec des étrangers. Si ça leur arrive, c'est avec leurs compagnons d'armes ou d’aventures et seulement après quelques bonne pintes de bière de Bor. Cela explique peut être pourquoi ils deviennent pour le moins ombrageux et ne tolèrent aucune raillerie les rares fois où ils devisent sur leur religion, même s'ils ne cherchent pas à convertir leurs interlocuteurs.

Antécédents : Les artilleurs nains sont une classe de soldat à l’honneur dans leur patrie et ils s’entraînent généralement dès leur plus jeune age dans les arts drodarins. Même dans les pires conditions, les plus expérimentés d'entre eux peuvent forger leur équipement, charger une arme au maniement complexe ou tirer avec elle. Cela leu prend des décennies pour développer de telles techniques et cette connaissance va bien au-delà de l'entendement de la plupart des autres habitants du Magnamund : c' et le secret intime de la race de Bor.

Autres classes : Les Artilleurs Nains travaillent avec tout le monde, ce qui est le propre des mercenaires. Certains ont des objections morales à faire valoir quant à exécuter des tâches particulières, aucun nain bien élevé ne s'abaisserait à servir volontairement les Maîtres des Ténèbres; mais en général, ils ne sont pas regardants quant à la profession de leurs compagnons d'armes. Néanmoins ils sont quelque peu mal à l'aise avec la Confrérie de l'Etoile de Cristal, attitude qui leur, vient de leur respect inné pour les manifestations de la nature plus que pour les « tours» de magicien. Sur un plan personnel, un artilleur nain peut mettre de coté ce préjugé, en particulier s’il y a un combat ou un butin à la clef.