Les gardiens du jeu

Alors petit scénario bien sympathique m^m si la mort nous a presque tous rattrapé ....
1 seul survivant , 1 prêtre ki aurait pu croire cela , en + de savoir prier ils courent ,ces prêtres m impressionneront toujours !!!

Vive Yog-Sothoth et que son nom soit vénérer de part les temps ....

ahh.ahhhh.......ahhhh.......ohhhhh......oohhhh..ohhhhh......iiiihhhhhh......iihhhh..ih.


Vilain MJ !!!

A++

Apres une enquête, visant à retrouver la trace d’un amant et d’un livre perdu, les Pjs se retrouvent au beau milieu des champs de bataille de la grande guerre.

La piste en effet les guides jusqu’à l’hôpital d’Arras, une petite ferme aux murs blanchis à la chaux. Le front était à 500 m, de l’autre côte d’une petite colline. Il ne reste plus que le docteur Wilson et quelques blessés.

Tous les indices désignent le Docteur Wilson, mais celui-ci après vérification n’est pas l’homme que les Pjs recherchent et ne possède encore moins le livre maudit.
Mais il a quand même sa part d’ombre, il est en fait Herbert West un savant fou, qui pratique des expériences sur les morts et parfois sur les vivants.

Au loin, dans le village de Villerwal, Sir Eric Moreland Lee commence la cérémonie, le Liber Lacrymae posé devant lui.
Lee est l’une des expériences de West, mais celui-ci garde une rancœur énorme à l’encontre de son sauveur, enfin son réanimateur. Son plan est de montrer au grand jour les expériences de West en attirant l’attention sur lui.
La seconde partie du plan et d’accomplir un rituel oublié qui lui permettrait de se venger de tous les vivants.
Les Pjs aiguillés par West comprennent un peu tard peut-être que le voleur de livre est ce Lee et qu’il se cache dans un petit village entièrement détruit au beau milieu du champ de bataille, Villerwal.

Le seul moyen de s’y rendre est de traverser le front à pied, enjamber de nombreuses tranchées et trous d’obus. Le paysage est apocalyptique et il y est difficile de progresser.

Enfin les Pjs arrivent au village, seule l’église se dresse au milieu des décombres des autres bâtiments.
Un chant venant de l’intérieur est perceptible. Les Pjs s’avance malgré les gardes morts vivants, le presbytère semble être une entrée sur, en plus, une diversion pas attendue leur donne un petit coup de pouce.

Lee est là, devant lui, le livre est ouvert et une assemblée de morts vivants est en train de psalmodier l’ignoble rituelle. Derrière l’autel, deux goules en soutane accomplissent une parodie de messe. Une troisième tape comme une folle sur un harmonium démantibulé.
Puis tout est calme pendant quelques secondes.
Apparaît enfin, une sorte de monstrueuse aurore boréale composée de couleurs étrangères à notre spectre. Elle plane au-dessus du clocher quelques instants, le temps d’entendre la requête de Lee et de l’exaucer.

Il a souhaité que tous les morts de la région ressuscitent et se vengent des vivants…..
Les Pjs ont un gros problème, il ne reste plus qu’à courir comme des fous jusqu’à l’hôpital ou jusqu’à Arras, à travers des tranchées pleines de mort-vivants agressifs.


Je laisse le soin à chacun de raconter son expérience, de faire partager son effroi et peut-être de conter leur propre mort….

Bonne partie, j’ai bien rigolé, excellent rôle-play, merci aux joueurs pour cet agréable moment de Jdr.

Le grand Cthulhu a encore frappé.

Ce vendredi 26 octobre fut une grande date dans l’histoire de la santé mentale de nos joueurs.
Enfin on en reparlera………lors de vos séances de psychanalyse !

Pourquoi ? , les gens qui sont dans 1 asile en 1920 ont ils la chance de recevoir des soins par un psychanalyse ?
Je ne sais pas et je doute , je dirais pas tous alors !!!
Bon courage a nos 2 braves qui ont succombés à la folie plutôt qu à la raison !!!
++

De quelles cryptes elles surgissent, je ne puis dire,
Mais chaque nuit, je vois les choses caoutchouteuses,
Noires, cornues et fluettes,
Avec leurs ailes membraneuses,
Et des queues qui portent l’ardillon fourchu de l’enfer.

Extrait de « Rêverie », par Edward Derby, 1919.

Juillet 1940.

Bon ça y est la France est occupée, et nous on est encore dans de beaux draps.
Ces Allemands sur toutes nos routes, dans chacun de nos villages, pillant notre beau pays.
Et ce ramassis de traîtres qui collaborent avec eux, le grand Maréchal en premier, ils me dégoûtent. Vive la patrie, vive le Socialisme.

Emilien Dorbes.

Arséne de Montcerny, le général, écoute les lamentations du garagiste puis l'interrompt amusé:

"Oui, oui monsieur, ces même "traîtres" dont vous pouvez vous plaindre également de recevoir ingratement un honnête salaire lors que la France crie famine sous le joug de la botte allemande. Il faut savoir temporiser et j'ose espérer que le Maréchal saura forger la nouvelle arme de la revanche. Puis à qui revient la faute de la défaite? Je vous le demande, n'est ce pas un certain Léon Blum et son Front Populaire sans échine qui laissa depuis belle les fous dominer la scéne politique en Europe sous couvert d'un pacifisme criminel? Qui en nombre vota les accords Munich, si ce n'est la SFIO? Quand aux Communistes,peuh, qui dans notre dos se sont arrangés, racaille Bolchevique, avec les Allemands sur la partition de la Pologne? Enfin aprés tout, je ne suis pas de ceux qui pensent qu'il faut cesser le combat, et pour parler franc s'il n'en était de ma pupille ma seule famille qui n'a voulu quitter la France, j'aurais rejoint ce général De Gaulle en Angleterre. Enfin ce malheureux va vite comprendre dans quel sac de sournoiserie, il vient de tomber en devenant l'hôte de la toujours perfide Albion assassine de notre Grande flotte à Mers El Kébir."

Enfin Arséne se frappe le front se rappelant ou il se trouve de fait:

"Enfin je vous laisse à vos sempiternelles complaintes et illusions! Mais prenez garde que certaines oreilles n'en entendent trop en cette nouvelle époque qui comence."

Enfin d'un ton moins déclamateur, il ajoute:

"Je vous crois pourtant brave coeur, même si un peu perdu comme nous tous devant l'ampleur des choses qui se passent actuellement. En tout cas, j'espére que vous trouverez d'autres dieux que Peugeot-Citroën, mon jeune ami."

Mais Mr de quoi parlez-vous ?
Je suis Emilien Dorbes, ingénieur en mécanique des fluides en aucun cas un sympathisant du fascisme Allemand.

Emilien Dorbes

Arséne tapote de sa canne, l'embléme citroën qu'Emilien doit encore polir sur sa voiture de fonction

"Mon garçon, c'est bien vous qui vouiez aux imondices il y une minute le Maréchal, alors que par mon entremise vous avez obtenu ce travail rémunéré par son gouvernement ici à Vichy tout socialiste que vous soyiez? De plus et cela me géne d'avoir à replacer les choses auprés d'un compagnon d'infortune comme vous, mais vous pourriez au moins vous adresser à moi par mon grade de Général?"

"Enfin, je ne dirais plus rien, vous avez à faire je crois, mais n'oubliez jamais que Nazi est un diminutif pour National Socialisme, hé oui jeune homme l'enfer est pavé de bonnes intentions puis n'oubliez pas que j'ai vu le feu en 14 comme Pétain bien avant que vous appreniez le sens du mot patriotisme. Enfin passons, je ne voudrais pas argumenter avec vous trop profondément, on n'est pas toujours maître de ses croyances intimes fruits d'accidents du hasard, n'est ce pas?"

"Sur ce, Vive la France!"

Ici August Lenoir ou bien René Leblanc juste une chose à dire Viva la Révolution !!!
Apres avoir étudier de pres l'Occulte, je vais écrire quelques grand passage de cette Guerre .
L'Histoire de notre Pays est entrain de changer à tout jamais.
Peut être que notre garagiste "Guyx" voudra bien y laisser une note ou 2 sur les progres de la Physique ou autre .......

Mais ou va la France ..........

Le général est en train de lire son journal tranquillement installé dans son bureau.

Il a encore entendus ce matin les doléances de son mécanos, Petit Jean, qui s'appele en fait Emilien, ça tout le monde le sait sauf Gudule la Sténographe myope un peu simplette du rez de chaussé. Des identités secrétes à rechange à n'en plus rien comprendre pour un monde de faux semblant, le vieux Soldat s'en gausse se disant qu'il faudra bien lui laisser croire au bougre qu'il se trouve être le fils oublié que Mata Hari eut avec un Jaurés fantôme. Il ronge son gant espérant encore un sursaut d'esprit de la France, au moins autant que quand Dédé la Frappe acceptera de défendre ses vieux os quand il faudra partir préserver le patrimoine spirite de la Patrie.

Penser qu'en cette sombre année qui n'en finit plus de nous balancer des mauvaises nouvelles, il restera la seule lueur d'espoir de voir se lever un nouveau soleil d'Austerlitz en utilisant intelligement l'arme occulte, l'arme des pauvres... mais que n'a t'il à ses côtés sa fidéle troupe de Spahis! Souvenirs, Souvenirs...

Qui sait si grâce à un audacieux pacte conçut avec une puissance d'outretombe, on ne pourra invoquer la Garde à nouveau pour ressusciter le rêve d'une Europe au doux parler François de la Manche à la Caspienne, d'Yonville à Volgograd! Les navires coulent encore à l'heure qu'il est, bernique!

Le général lorgne un vieux Mémorial de Saint Héléne pour se dire qu'il se fait bien vieux pour toutes ces sottises. Il enfile pourtant sa vieille parkha et se prépare à suivre sa nouvelle formation spéciale des Corps Francs à 65 ans révolus.

Il restera bien une tombe abandonnée qui eut bien préféré connaître d'autres cieux, un vague souvenir d'homélie de Saint Jean sur le fait qu' "Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis", un drapeau mouillé qui claque, une fanfare improvisée puis surtout le silence...

Sur la pierre on peut lire simplement:

Arséne de Montecerny, Commandant, 1875-1940

Tocci se gaousos

J irais taggé sur ta tombe ceci : a un militaire qui croya que l avenir était inscrit entre ses mains .
Enfin personne ne pleurera sur ta tombe, mais je respecterais l homme qui voulait défendre sa patrie !
Par contre je déposerais tout un tas de fleurs plus belle les unes aux autres sur la tombe de Camille qui malgré son éducation faite par un militaire , était une bien belle petite francaise au coeur pur mais dur .
Elle nous manquera que son âme soit guidé par les rivières astrales de l au-delà .

Ps : Je continu à écrire mon journal Historique de ma vie , sans oublier de noter la dâte de la mort des mes compagnons ainsi que le nom du meurtrier . J ecris aussi sur mon livre, le texte que j ai pris en photos du carnet du Japonais.

« -Mon capitaine, mais c’est la guerre ici.

-Vous croyez avoir été mobilisé pour quoi soldat.
Il faut absolument tenir la position, le moindre Boche que vous voyez doit dans les deux secondes qui suivent être un Boche MORT !
Compris, Soldat. »

Le froid, la pluie, la boue, la faim, l’horreur ont étaient votre quotidien depuis plus de six mois, mais maintenant c’est fini.
Enfin fini, il y a toujours ces cauchemars qui vous hantent chaque nuit.
Toujours ces bruits de bataille derrière vous.

Un claquement de suaire et une exsangue moustache comente dans les ténébres d'un sépulcre:

"Mordious mais qui eut cette idée folle de lui donner un quelconque grade dans la brigade de la desosse!
Oh, je suis bien marrie de me rappeler que ce dut être votre auguste serviteur hilarant!
Ah ça! Mais Capitaine Croustade, oyez finement qu'il n'est nul Boche, Doryphore, Uhlan, Huns ou Goths aux marches de l'Empire du Milieu! Barnak vous pourrez bien pester contre les Niaks ou Niakoués mais entouré d'eux je pense que d'une arme vous filerez vite à gauche ad mortis!"

"La mort est traîtresse maîtresse et je regrette déjà de n'être plus pour vous balancer de la girofle, Sir du Petit Jean ...!"

"Quand au Taggage de tombe, Sir de la Scribouille... attendez de voir si l'esprit de la marine de ses longs appendices n'en saura venger sous peu l'outrage!"

"Bah, mais il faut bien souhaiter bonne chance à ceux qui nous retrouveront sous peu au royaume d'en dessous!"

ou je ne m'y connais plus en poulperies multiples.