??-?? - Les Transposés
Posté : 15 novembre 2025, 11:56
Vous ne vous souvenez pas vous être endormi.
Un instant, vous meniez votre vie normale — ou la vie du personnage moderne que vous avez choisi de jouer, ou la vie de votre personnage favori — dans un monde de lumières électriques, de routes asphaltées, d’écran et de bruit permanent ou de votre autre monde imaginaire.
L’instant d’après, quelque chose d’impossible s’est produit.
Un flash.
Une vibration qui ne vous a pas traversé le corps… mais l’esprit.
Une sensation d’être observé, mesuré, analysé, sans douleur, sans contact.
Puis le noir total.
Quand vous revenez à vous, vous êtes ailleurs.
Le froid.
Le silence.
Un calme étrange, presque ancien.
Le ciel n’est plus le même.
L’air a une odeur inconnue — de terre humide, de vent neuf, de bois vivant.
Sous vos mains : du sol, de l’herbe, de la pierre.
Autour de vous : aucune route, aucun moteur, aucune trace de la civilisation que vous connaissez.
À vos côtés, un objet incongru :
votre valise.
Une valise que vous n’aviez, en théorie, aucune raison d’avoir… et pourtant, elle est là.
Son contenu est exactement celui que vous avez choisi.
Vous n’êtes pas blessé.
Vous n’êtes pas ligoté.
Vous n’êtes pas seul.
Et surtout :
vous avez la certitude glaciale que quelqu’un — ou quelque chose — vous observe.
Pas comme un ravisseur.
Pas comme un sauveteur.
Comme un chercheur.
Vous avez été déplacé.
Transposé.
Arraché à votre monde, déposé dans un autre.
Sans explication.
Sans guide.
Sans consigne.
Une intelligence inconnue — humaine ? extraterrestre ? autre chose ? — semble vous avoir sélectionné pour une expérience. Une étude.
Un test, peut-être.
Vous ignorez le lieu.
Vous ignorez les règles.
Vous ignorez les dangers.
Tout ce que vous savez, c’est que ce monde ne vous connaît pas.
Qu’il ne vous attendait pas.
Et qu’il réagira à chacune de vos décisions.
Il n’y a aucune instruction.
Seulement votre jugement, votre courage…
…et le contenu de cette valise.
Le reste, vous devrez l’apprendre.
Ou mourir en essayant.
Si cela vous tente, marquez votre interêt. Je pense à une voire deux sessions mensuelles.
Un instant, vous meniez votre vie normale — ou la vie du personnage moderne que vous avez choisi de jouer, ou la vie de votre personnage favori — dans un monde de lumières électriques, de routes asphaltées, d’écran et de bruit permanent ou de votre autre monde imaginaire.
L’instant d’après, quelque chose d’impossible s’est produit.
Un flash.
Une vibration qui ne vous a pas traversé le corps… mais l’esprit.
Une sensation d’être observé, mesuré, analysé, sans douleur, sans contact.
Puis le noir total.
Quand vous revenez à vous, vous êtes ailleurs.
Le froid.
Le silence.
Un calme étrange, presque ancien.
Le ciel n’est plus le même.
L’air a une odeur inconnue — de terre humide, de vent neuf, de bois vivant.
Sous vos mains : du sol, de l’herbe, de la pierre.
Autour de vous : aucune route, aucun moteur, aucune trace de la civilisation que vous connaissez.
À vos côtés, un objet incongru :
votre valise.
Une valise que vous n’aviez, en théorie, aucune raison d’avoir… et pourtant, elle est là.
Son contenu est exactement celui que vous avez choisi.
Vous n’êtes pas blessé.
Vous n’êtes pas ligoté.
Vous n’êtes pas seul.
Et surtout :
vous avez la certitude glaciale que quelqu’un — ou quelque chose — vous observe.
Pas comme un ravisseur.
Pas comme un sauveteur.
Comme un chercheur.
Vous avez été déplacé.
Transposé.
Arraché à votre monde, déposé dans un autre.
Sans explication.
Sans guide.
Sans consigne.
Une intelligence inconnue — humaine ? extraterrestre ? autre chose ? — semble vous avoir sélectionné pour une expérience. Une étude.
Un test, peut-être.
Vous ignorez le lieu.
Vous ignorez les règles.
Vous ignorez les dangers.
Tout ce que vous savez, c’est que ce monde ne vous connaît pas.
Qu’il ne vous attendait pas.
Et qu’il réagira à chacune de vos décisions.
Il n’y a aucune instruction.
Seulement votre jugement, votre courage…
…et le contenu de cette valise.
Le reste, vous devrez l’apprendre.
Ou mourir en essayant.
Si cela vous tente, marquez votre interêt. Je pense à une voire deux sessions mensuelles.
